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J'ai commencé tardivement aussi (à 44 ans). Jeb, tu as vite écrit 'très bien ', et rien que pour ça, tu n'as pas perdu de temps depuis que tu t'es lancé dans l'écriture.
Merci ! Tu as gagné un M&M's ! De ce que j'ai lu de toi, tu as eu tout de suite ta voix propre : je trouve que ce n'est pas simple. On est beaucoup à tâtonner.
Ça va, finalement, on est quelques-uns à n'avoir pas ressenti de vocation précoce.
26-27 ans ici. C'est venu pendant la grossesse de de ma femme/naissance de ma fille. Avant ça, rien, pas de signes. J'dois dire que j'étais le premier surpris lors de ma première tentative. Finalement, je me suis pris au jeu.
J'ai dû commencer à 15 ans, après avoir découvert Stephen King. Et j'avais été plutôt productif, j'avais dû rédigé ce que j'aurais découpé en deux romans et un troisième que j'avais pas été capable de finir. Mais après, j'ai dû faire rentrer l'écriture en sommeil pendant longtemps avant de reprendre vers mes 26 ans, ce qui a engendré mon entrée dans le monde des petits éditeurs et webzines.
Vu mon ratio de publications, on peut pas dire qu'avoir commencé tôt ait vraiment eu un impact.
Moi j'ai été particulièrement précoce, avec une sombre histoire de voiture de Batman quand j'avais cinq ou six ans.
Dans la vingtaine, j'ai eu des prétentions littéraires (deux romans de semi-blanche psycho-alcoolique et quelques recueils de poésie en prose suicidaire), suivies d'une grande vague creuse pendant pas loin de vingt ans.
J'écris un peu de SFFF à mes heures perdues et par phases. Je n'ai aucune velléité d'édition, hormis de l'autoédition, ni de reconnaissance, c'est juste un échappatoire.
Tout comme Stitch Jones, je suis sans doute meilleur graphiste qu'écrivain.
C'est vrai que c'est une question des plus intéressantes.
Perso, j'ai écris des petits trucs à droites à gauche mais pour proposer vraiment un texte, c'est grâce à une ancienne compagne (à qui j'ai dédicacée "Les dangers de Samarilla") qui avait toujours un regard admiratif quand elle me voyait raconter mes histoires et lui parler de ce que j'avais en tête, et qui m'a poussé à tenter l’expérience en 2016. Je devais avoir pas loin de 30 ans quand j'ai commencé à répondre à des AT.
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