Thomas Spok mène une fausse vie de bohème entre pays de cocagne et jeu de dupes. Il passe le plus clair de son temps à broyer du noir et à rire sous cape, parfois simultanément. On pourra lire de lui :


– des fragments poétiques dans l’anthologie Respondances, coédition ENBA Lyon et ENS Lyon : Proposition d’existence (2010)
– des contes dans les n°1 et 2 du webzine le Cahier du Baratin : Portrait de l’artiste en Narcisse, Au grand hôtel, Grandir, Parole d’artiste, Une bonne histoire, Peau-rouge (2010)
– un texte bref dans le webzine Vanille Givrée n°9 : Vénus (2010)
– une nouvelle dans le n°3 de la revue papier Pénombres : Transperrance (2010), ainsi qu’un poème dans le n°5 : Le pacte (2011)
– une nouvelle dans le webzine Squeeze n°2 : Sniper (2011)
– un récit dans la revue papier Katapulpe n°11 : Récit (2011)
– trois nouvelles dans les n°9, 11 et 12 du webzine d’OutreMonde : Dans la peau (2010), Après la pluie (2011) et Non coupable (2012)
– une nouvelle dans le webzine Brèves du Crépuscule n°5 : N’être (2012)
– un texte bref dans la lettre n°100 du club Présences d’Esprits : Les yeux d’Argus (2012)
– aux éditions La Madolière, une nouvelle dans l’anthologie Morts dents lames : Entrez, dit-il (2012)
– un recueil de poèmes aux éditions Delatour : Les pas d’Orphée (2012)
– deux nouvelles dans les n°6 et 8 du webzine Mots et Légendes : La traque (2012) et Parfum de femme (2013)
– aux éditions Sombres Rets, une nouvelle dans l’anthologie Histoires d’Amour : L’Impromptu de la noce (2012) ; une nouvelle dans l’anthologie Le Monde de la Nuit : Nocturnes du sableur (2013)

 


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