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Envie de râler, un coup de déprime ?
20 Sep 2017 13:10 #891
par Jeb
Réponse de Jeb sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Oui, je te comprends, on ressent de la frustration aux silences éternels des espaces infinis. Et c'est décourageant pour reprendre la plume. Mes pauvres Chasseurs noirs font 850 000 caractères, et personne n'en veut, ni même ne me répond : "Désolé, je n'en veux pas". 
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20 Sep 2017 17:29 #892
par Véro-Lyse
Réponse de Véro-Lyse sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Et je parlais de tout, pas que des réponses à des envois (je n'en fais plus depuis un moment, un peu marre de ne pas avoir ne serait-ce qu'un accusé). Même au quotidien ça traîne, mais ça traîne... je n'ai pas spécialement de patience non plus 
Je suis désolée pour ton texte... c'est affligeant...
Je suis désolée pour ton texte... c'est affligeant...
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20 Sep 2017 18:00 #893
par Jeb
Réponse de Jeb sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Je t'avais mal compris, pardon d'avoir édulcoré ton propos...
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20 Sep 2017 18:09 #894
par Véro-Lyse
Réponse de Véro-Lyse sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
J'ai aussi dû mal exprimer ce que je voulais dire 
Au moins une chose est sûre, c'est que ceux qui vont écrire pour la nouvelle anthologie de M&L auront un accusé et une réponse.
Et ça, c'est top !
Au moins une chose est sûre, c'est que ceux qui vont écrire pour la nouvelle anthologie de M&L auront un accusé et une réponse.
Et ça, c'est top !
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20 Sep 2017 18:15 #895
par Jeb
Réponse de Jeb sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Oui, et j'ai ouvert mon vieux Littré pour y piocher tous les synonymes que je pouvais trouver de "minable", "pourri", "lamentable" et "mouais, potable". 
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27 Sep 2017 09:14 - 27 Sep 2017 09:16 #897
par Jeb
Réponse de Jeb sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Oui, entièrement d'accord pour le forum et M&L en général ; on est en famille ici. Y a qu'à voir la gentillesse avec laquelle Ludovic nous a ouvert un sous-forum rien que pour nous quand, venue de nulle part, comme ça, l'idée est apparue à Nicolas qu'on pouvait travailler ensemble sur un thème donné.
Oui, peut-être que l'anthologiste a été dépassé, mais je comprends ta frustration. J'ai tellement la trouille d'être submergé dans ce rôle que, dès qu'une nouvelle est envoyée à Ludovic, je la lis aussitôt et je rédige aussitôt un petit paragraphe, tant que c'est bien frais, base sur laquelle nous pourrons discuter pour le choix plus tard, et base sur laquelle je pourrai rédiger un avis en cas de refus. Oh, un petit avis, pas une dissertation, deux phrases, mais quelque chose de personnalisé. Je comprends que les comités sont submergés, mais recevoir tous les deux ans le même email de refus, à la virgule près, d'un éditeur à qui on prend soin d'envoyer des manuscrits différents tenant compte de l'évolution de la ligne éditoriale, ça finit par fatiguer un peu...
J'ai suffisamment dit ici combien je comprenais les éditeurs qui ont une vie difficile, et que certains auteurs n'épargnent pas, pour pouvoir dire que, parfois, le contraire est un peu vrai aussi. Je n'ai jamais injurié, réclamé, protesté contre un éditeur. J'ai toujours été patient et attentif. Même chez L'Ivre-Book, qui m'a sélectionné une nouvelle, m'a fait poireauter un an avant de me dire que, finalement, l'anthologie était supprimée, je n'ai pas fait la mauvaise tête. Par ailleurs, j'achète beaucoup plus de livres que je n'ai les moyens de m'en offrir, et je prends toujours un peu mal la blague courante dans l'édition du "On aimerait avoir autant de lecteurs que de manuscrits". Ceux qui vous envoient des manuscrits sont aussi ceux qui achètent vos bouquins, les gars, allez être injustes avec quelqu'un d'autre.
Cela dit, je me souviens aussi de ce que le patron de House Made of Dawn me racontait du pétage de plomb d'un de ses auteurs, d'une violence inouïe, et je me blinde en ce moment pour le moment où il faudra envoyer les retours négatifs de l'anthologie des Chevaliers !
Oui, peut-être que l'anthologiste a été dépassé, mais je comprends ta frustration. J'ai tellement la trouille d'être submergé dans ce rôle que, dès qu'une nouvelle est envoyée à Ludovic, je la lis aussitôt et je rédige aussitôt un petit paragraphe, tant que c'est bien frais, base sur laquelle nous pourrons discuter pour le choix plus tard, et base sur laquelle je pourrai rédiger un avis en cas de refus. Oh, un petit avis, pas une dissertation, deux phrases, mais quelque chose de personnalisé. Je comprends que les comités sont submergés, mais recevoir tous les deux ans le même email de refus, à la virgule près, d'un éditeur à qui on prend soin d'envoyer des manuscrits différents tenant compte de l'évolution de la ligne éditoriale, ça finit par fatiguer un peu...
J'ai suffisamment dit ici combien je comprenais les éditeurs qui ont une vie difficile, et que certains auteurs n'épargnent pas, pour pouvoir dire que, parfois, le contraire est un peu vrai aussi. Je n'ai jamais injurié, réclamé, protesté contre un éditeur. J'ai toujours été patient et attentif. Même chez L'Ivre-Book, qui m'a sélectionné une nouvelle, m'a fait poireauter un an avant de me dire que, finalement, l'anthologie était supprimée, je n'ai pas fait la mauvaise tête. Par ailleurs, j'achète beaucoup plus de livres que je n'ai les moyens de m'en offrir, et je prends toujours un peu mal la blague courante dans l'édition du "On aimerait avoir autant de lecteurs que de manuscrits". Ceux qui vous envoient des manuscrits sont aussi ceux qui achètent vos bouquins, les gars, allez être injustes avec quelqu'un d'autre.
Cela dit, je me souviens aussi de ce que le patron de House Made of Dawn me racontait du pétage de plomb d'un de ses auteurs, d'une violence inouïe, et je me blinde en ce moment pour le moment où il faudra envoyer les retours négatifs de l'anthologie des Chevaliers !
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27 Sep 2017 11:56 #898
par Catherine Robert
Réponse de Catherine Robert sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Que ce soit chez les éditeurs, ou chez les auteurs, ou chez les lecteurs, on trouve de tout, de l'incroyable, en positif comme en négatif. C'est juste le reflet de l'humanité en général.
Perso, j'essaie aussi de ne jamais critiquer parce que je sais que ce n'est pas facile la vie de micro-éditeur. Cela ne m'empêche pas de regretter le manque de communication parfois. Même si je comprends que le temps n'est extensible pour personne. Et c'est bien parce que le temps n'est extensible pour personne que je m'interdis de critiquer.
Mais c'est vrai qu'au bout d'un temps, on se lasse un peu d'envoyer pour trop souvent ne rien recevoir en retour ou une réponse négative formatée. Je connais beaucoup d'auteurs qui ont abandonné les AT pour ça. Trop de refus, trop d'attente, trop peu de "considération" (entre guillemets parce que le mot est un peu fort), sans oublier le fait que peu de retours sur lecture, peu de ventes pour les antho. On peut finir par se dire : "à quoi bon". Il y en a qui se tournent vers l'auto-édition (j'en connais des talentueux), d'autres qui cessent tout simplement de croire en leur chance, les plus fragiles peuvent même cesser de croire en eux, en leur potentiel. Et dans le pire des cas, ça peut pousser à arrêter d'écrire.
Mais voilà, la réalité est aussi que pour un AT, il y a de plus en plus souvent la centaine de textes reçu par l'éditeur/anthologiste, si pas plus, pour une quinzaine de places dans le bouquin. Beaucoup doivent être laissés au bord de la route, et parfois alors qu'il n'y a rien à reprocher à leur récit. C'est juste un point qui doit être compris par les auteurs.
Sauf que petits êtres sensibles que nous sommes, un refus, ça va, deux refus, ça va, trois refus, on commence à se miner. C'est ainsi aussi.
Arriver à se placer, c'est un combat permanent (à part pour les plus doués d'entre nous, ou les plus connus aussi), fatigant.
Perso, j'ai participé à énormément d'AT les derniers mois. Pour au bout : rien, à part Malpertuis et Violence 3, acceptés en tout début d'année. Depuis, uniquement des refus, des tas de refus. Un ratio décourageant qui me fait réfléchir à l'intérêt de continuer.
J'ai encore trois réponses en attente, deux à la dead-line assez récente, et l'autre terminée depuis fin février. Et j'ai un texte écrit pour l'AT Villes du futur que j'hésite fortement à envoyer. Arkuiris, je n'ai jamais réussi à placer, ils sont pointus niveau sf, et moi ma sf est de la sf que je qualifierais de floue, proche de la dystopie en général, ou de l'apo/post-apo. Ils me semblent (Arkuiris donc) rechercher des textes plus réalistes, plus scientifiques ou technologiques. Alors, comme je le disais plus haut : à quoi bon. Surtout que ce texte, je pourrais l'utiliser pour autre chose.
Donc, je me tâte beaucoup pour le moment. (non pas comme ça, bande d'esprits mal tournés )
Perso, j'essaie aussi de ne jamais critiquer parce que je sais que ce n'est pas facile la vie de micro-éditeur. Cela ne m'empêche pas de regretter le manque de communication parfois. Même si je comprends que le temps n'est extensible pour personne. Et c'est bien parce que le temps n'est extensible pour personne que je m'interdis de critiquer.
Mais c'est vrai qu'au bout d'un temps, on se lasse un peu d'envoyer pour trop souvent ne rien recevoir en retour ou une réponse négative formatée. Je connais beaucoup d'auteurs qui ont abandonné les AT pour ça. Trop de refus, trop d'attente, trop peu de "considération" (entre guillemets parce que le mot est un peu fort), sans oublier le fait que peu de retours sur lecture, peu de ventes pour les antho. On peut finir par se dire : "à quoi bon". Il y en a qui se tournent vers l'auto-édition (j'en connais des talentueux), d'autres qui cessent tout simplement de croire en leur chance, les plus fragiles peuvent même cesser de croire en eux, en leur potentiel. Et dans le pire des cas, ça peut pousser à arrêter d'écrire.
Mais voilà, la réalité est aussi que pour un AT, il y a de plus en plus souvent la centaine de textes reçu par l'éditeur/anthologiste, si pas plus, pour une quinzaine de places dans le bouquin. Beaucoup doivent être laissés au bord de la route, et parfois alors qu'il n'y a rien à reprocher à leur récit. C'est juste un point qui doit être compris par les auteurs.
Sauf que petits êtres sensibles que nous sommes, un refus, ça va, deux refus, ça va, trois refus, on commence à se miner. C'est ainsi aussi.
Arriver à se placer, c'est un combat permanent (à part pour les plus doués d'entre nous, ou les plus connus aussi), fatigant.
Perso, j'ai participé à énormément d'AT les derniers mois. Pour au bout : rien, à part Malpertuis et Violence 3, acceptés en tout début d'année. Depuis, uniquement des refus, des tas de refus. Un ratio décourageant qui me fait réfléchir à l'intérêt de continuer.
J'ai encore trois réponses en attente, deux à la dead-line assez récente, et l'autre terminée depuis fin février. Et j'ai un texte écrit pour l'AT Villes du futur que j'hésite fortement à envoyer. Arkuiris, je n'ai jamais réussi à placer, ils sont pointus niveau sf, et moi ma sf est de la sf que je qualifierais de floue, proche de la dystopie en général, ou de l'apo/post-apo. Ils me semblent (Arkuiris donc) rechercher des textes plus réalistes, plus scientifiques ou technologiques. Alors, comme je le disais plus haut : à quoi bon. Surtout que ce texte, je pourrais l'utiliser pour autre chose.
Donc, je me tâte beaucoup pour le moment. (non pas comme ça, bande d'esprits mal tournés
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27 Sep 2017 15:30 #899
par Kaliom Ludo
Réponse de Kaliom Ludo sur le sujet Envie de râler, un coup de déprime ?
Je vous remercie pour votre bienveillance sur ce que je fais au sein de M&L, cela me fait énormément de bien à lire, d'autant que je suis dans une phase où je me pose beaucoup de questions.
Je suis aussi un peu épuisé en énergie, du coup, j'y suis sensible et c'est aussi important pour moi de voir ce qu'il est bon de faire et de ne pas faire. Je me rends compte qu'avec la fatigue, je suis à la ramasse sur beaucoup de choses, je suis en retard sur l'envoi d'avis sur des textes que j'ai promis, des réponses à des mails et autres... et j'en suis vraiment désolé, confus et désespéré, je sais juste que ça va aller mieux une fois que les deux ouvrages en cours seront terminés. Je réorganise complètement ma façon de travailler ensuite.
En ce qui me concerne pour les réponses, j'essaye de garder à l'esprit que j'ai été auteur, que j'ai participé à des AT et que je sais à peu près ce que j'attends d'une réponse. Je sais aussi que mon objectif n'est pas de blesser avec une réponse, même si ça peut arriver parce que même en bossant ses formulations, en ayant aucune animosité, on peut pas être sûr de la façon dont le mail sera lu. Et s'il y a besoin d'un complément, je fais au mieux pour le donner. J'imagine bien ce que ça fait d'avoir un texte refusé.
C'est aussi pour ça que je mets en place les bilans sur le site pour montrer que les textes ne sont pas oubliés.
De mon point de vue, c'est dommage de changer un système qui plaisait aux auteurs, car bien avant les lecteurs, c'est les auteurs qui font l'image d'une ME, autant ceux qui sont publiés que ceux qui participent aux soumissions de manuscrits.
Le pétage de plomb peut arriver chez les auteurs, mais jusqu'à présent, j'ai toujours réussi à limiter la casse, y a eu parfois des messages un peu limite, mais jamais d'insultes ou autres, donc t'en fais pas Jeb, je serai ton bouclier
Je comprends ta fatigue, Catherine, même si ça n'en a pas l'air, c'est une compétition un AT et c'est forcément décevant quand on ne fait pas partie des sélectionnés. Et faut pouvoir encaisser la longue attente des réponses et aussi les refus. Et encore plus si c'est fait de façon impersonnelle.
Cela fait oublier le plaisir de l'écriture... Je me dis souvent qu'un AT ne devrait être qu'une occasion d'essayer d'écrire sur un thème donné, une façon de stimuler son imagination. Mais c'est une version idéaliste d'un gars qui n'écrit et ne participe pas. (mon mot à dire est limité du coup)
J'espère que ces impressions négatives vont passer et que tu retrouveras une envie positive de participer à des AT. Mais j'ai conscience que la balle est du côté des éditeurs qui doivent faire mieux pour que les auteurs ne soient pas que des textes sur pattes. Dans le même ordre d'idée, les lecteurs et chroniqueurs ont aussi une mauvaise image des éditeurs, il y a donc sans doute un gros travail à faire dans les fondements de l'édition.
Tous ces messages m'aident à en tout cas à essayer de faire mieux
Je suis aussi un peu épuisé en énergie, du coup, j'y suis sensible et c'est aussi important pour moi de voir ce qu'il est bon de faire et de ne pas faire. Je me rends compte qu'avec la fatigue, je suis à la ramasse sur beaucoup de choses, je suis en retard sur l'envoi d'avis sur des textes que j'ai promis, des réponses à des mails et autres... et j'en suis vraiment désolé, confus et désespéré, je sais juste que ça va aller mieux une fois que les deux ouvrages en cours seront terminés. Je réorganise complètement ma façon de travailler ensuite.
En ce qui me concerne pour les réponses, j'essaye de garder à l'esprit que j'ai été auteur, que j'ai participé à des AT et que je sais à peu près ce que j'attends d'une réponse. Je sais aussi que mon objectif n'est pas de blesser avec une réponse, même si ça peut arriver parce que même en bossant ses formulations, en ayant aucune animosité, on peut pas être sûr de la façon dont le mail sera lu. Et s'il y a besoin d'un complément, je fais au mieux pour le donner. J'imagine bien ce que ça fait d'avoir un texte refusé.
C'est aussi pour ça que je mets en place les bilans sur le site pour montrer que les textes ne sont pas oubliés.
De mon point de vue, c'est dommage de changer un système qui plaisait aux auteurs, car bien avant les lecteurs, c'est les auteurs qui font l'image d'une ME, autant ceux qui sont publiés que ceux qui participent aux soumissions de manuscrits.
Le pétage de plomb peut arriver chez les auteurs, mais jusqu'à présent, j'ai toujours réussi à limiter la casse, y a eu parfois des messages un peu limite, mais jamais d'insultes ou autres, donc t'en fais pas Jeb, je serai ton bouclier
Je comprends ta fatigue, Catherine, même si ça n'en a pas l'air, c'est une compétition un AT et c'est forcément décevant quand on ne fait pas partie des sélectionnés. Et faut pouvoir encaisser la longue attente des réponses et aussi les refus. Et encore plus si c'est fait de façon impersonnelle.
Cela fait oublier le plaisir de l'écriture... Je me dis souvent qu'un AT ne devrait être qu'une occasion d'essayer d'écrire sur un thème donné, une façon de stimuler son imagination. Mais c'est une version idéaliste d'un gars qui n'écrit et ne participe pas. (mon mot à dire est limité du coup)
J'espère que ces impressions négatives vont passer et que tu retrouveras une envie positive de participer à des AT. Mais j'ai conscience que la balle est du côté des éditeurs qui doivent faire mieux pour que les auteurs ne soient pas que des textes sur pattes. Dans le même ordre d'idée, les lecteurs et chroniqueurs ont aussi une mauvaise image des éditeurs, il y a donc sans doute un gros travail à faire dans les fondements de l'édition.
Tous ces messages m'aident à en tout cas à essayer de faire mieux
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