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  • Si elle était :

    Un arbre : le saule pleureur
    Une fleur : le lys ou le lotus, pour leur symbolique
    Un lieu : les rives d'un lac, en montagne
    Un moment : le soir, quand le soleil se couche
    Une personne : hum, je ne sais pas, un artiste dans son atelier...
    Un animal : la panthère noire ^^
    Un élément : le vent
    Les yeux : regardant vers l'avenir
    Un doigt : l'index, qui estompe parfois mieux qu'un buvard
    Une couleur : le noir... mais pas vraiment gai ça... alors on va dire le vert symbole du repos, de l'espérance, de la nature.
    Une musique : en ce moment, Priscilla Ahn's avec 'Dream'
    Une boite : à secret
    Une matière : le papier
    Une voiture : une mini ^^
    Un style : aucune idée... peut-être un mélange de tout ce que j'aime.
    Un habit : confortable et un peu sexy à la fois, tout simple.
    Une marque : aucune
    Une maison : un chalet avec de grandes fenêtres donnant sur la montagne.
    Un magasin : un bric à brac de matériel de dessin gratuiiiiiit
    Un prof : d'Arts
    Une ville : aucune en particulier
    Un pays : le Canada, ça reste mon rêve.
    Un océan : infini
    Un parfum : la vanille
    Une pierre précieuse : l'onyx
    Une saison : l'hiver
    Un bijou : un pendentif de fée, je viens d'en trouver un !
    Un objet : mon crayon ! Mon bloc ! Mon pinceau dans mes cheveux ! Lol

    Vous pouvez retrouver l'univers de Virginie Jaydem sur son blog : http://virginie-jaydem.fr

  • La Quête : Qui es-tu ?
    Sylvie : Je suis en chemin.
    La Quête : Que veux-tu ?
    Sylvie : Je veux évoluer sur le chemin.
    La Quête : Où vas-tu ?
    Sylvie : Le destin le dira. J’apprends à lire les symboles, et à co-créer l’histoire en train de s’écrire.
    La Quête : Que fais-tu ?
    Sylvie : J’inscris des signes sur le chemin, et quand je retrace les mêmes signes, je sais que je reviens sur mes pas. Je cherche, je dessine, j’emprunte des mots pour créer du sens, un sens qui ne reflète que l’instant où je suis et qui, peu à peu, s’affine. L’apprentissage de l’analyse symbolique des œuvres d’art m’a amenée à suivre une formation en art-thérapie, et je suis en train de créer un site web à ce sujet à l’adresse suivante : http://www.etincellesdencre.com
    La Quête : Et ces poèmes, ces textes que tu offres, dans ce webzine ou ailleurs, en particulier au sein du collectif Hydrae et de son Codex Poeticus, sous le pseudonyme Elvys ou Scylliane Mohan, que reflètent-ils ?
    Sylvie : Ce sont des empreintes, mais nulle empreinte ne définit vraiment quelqu’un. J’ai été traversée par la fougue qui a induit le poème ci-dessus, mais je ne suis pas la fougue.
    La Quête : Alors qui es-tu ?
    Sylvie : Et toi, qui es-tu ? Toi qui détiens les questions, veux-tu que je t’enferme dans une réponse ?

     

  • Née en décembre 1988 dans le Midi, Dana B. Chalys (nom de plume) se découvre très tôt une passion pour le Rêve et l’Aventure. Avec l’adolescence vient l’envie de se forger et de s’exprimer, ce qu’elle fait en écrivant des poèmes. Puis vient l’envie d’aller plus loin, de raconter autre chose, de créer plus encore. En 2003, la jeune fille décide de se lancer sur la Toile sous le pseudo de Sedenta Kernan. 100% autodidacte, elle dessine et écrit d’abord, puis découvre le graphisme, le monde du webzinat et, plus récemment, endosse la casquette de directrice artistique et maquettiste pour un nouveau webzine. Elle vit sa passion pour l’Imaginaire à 200% et s’épanouit au travers de ces différents médias. Mais son vrai rêve reste d’être publiée, un jour, car écrire est la chose qui la passionne le plus au monde.

    Si elle était :

    Un arbre : un frêne
    Une fleur : le lilas
    Un lieu : une clairière
    Un moment : un battement de cœur
    Un animal : un pygargue à tête blanche
    Un élément : le vent
    Un doigt : le pouce
    Une couleur : le rouge
    Un habit : un manteau
    Un magasin : une papeterie
    Un océan : le Pacifique
    Une pierre précieuse : un diamant
    Une saison : l’été
    Un bijou : un anneau
    Un objet : une épée

     

  • Quand as-tu commencé à écrire et pourquoi ?
    J’ai commencé à écrire à la fac, après avoir découvert les petites nouvelles humoris­tiques d’Alphonse Allais. Les lire toutes ne m’a pas suffi, il m’a fallu en écrire. Au dé­but, mes textes étaient très courts, ils décrivaient plus une ambiance qu’une histoire. J’ai aussi bénéficié d’un atelier d’écriture dans la même fac, ce qui m’a donné des idées et un peu de méthode.

    Qu’écris-tu plus volontiers comme format ?
    Les nouvelles sont mon péché mignon, je suis une adepte du format court. J’adore changer facilement d’univers, de personnages, de ton, explorer mes capacités en terme d’écriture, et je pense que la nouvelle est un format idéal pour cela. Pourtant, j’ai eu en­vie récemment de me lancer dans des projets plus longs. J’ai donc écrit un roman de fantasy urbaine et une novella de fantasy humoristique.

    Quelles sont tes influences ?
    J’aime écouter de la musique jazz ou rock (alternatif ou punk). J’adore lire, je lis comme je respire depuis que je sais déchiffrer un texte. Parmi mes écrivains préférés, j’aime citer Guy de Maupassant, Haruki Murakami, Dan Simmons ou encore Andreas Eschbach.

    Y a-t-il des éléments ou des thèmes chers que l’on retrouve dans tes textes ?
    Ne me demandez pas pourquoi, j’ai un faible pour les pieuvres et les tentacules, les bibliothèques bien garnies et les fauteuils de cuir brun. J’adore mettre en scène des rela­tions de maître à disciple (mais non, pas dans des histoires coquines, qu’allez-vous ima­giner !). J’écris dans tous les genres de l’imaginaire : science-fiction, fantastique, fantasy avec une préférence pour les textes humoristiques. Je me suis aussi essayée plusieurs fois aux textes érotiques.

    Quel est ton quartier général ?
    Un de mes rêves est de me faire sponsoriser par le Starbucks Coffee, où je passe beaucoup de temps à écrire et corriger mes textes. Le Tea Corner, un petit salon de thé du quartier Montorgueil constitue aussi une de mes bases secrètes (enfin pas si secrète, car avec d’autres jeunes auteurs, on s’y réunit régulièrement pour des séances d’écriture).

    Un moment mémorable de ta vie d’écrivain ?
    Lors du Festival Zone Franche de Bagneux 2011, j’ai été troisième du prix du festival pour deux de mes nouvelles : “La Foi en marche” paru dans le AOC 19 et “Un fauve poids-plume”, paru dans le Éveil 2. Après mon séjour sur la scène, j’avais une crampe à force de sourire. J’ai navigué sur un petit nuage rose pendant plusieurs semaines.

    Quel est ton plan de conquête du monde ?
    Ça dépend de quel monde on parle. S’il s’agit du monde réel, je ne suis pas intéres­sée. S’il s’agit le monde imaginaire, j’y sèmerai mes personnages jusqu’à ce qu’ils do­minent l’univers des rêves, muahaha ! Je me pose comme défi de solliciter sans cesse de nouveaux éditeurs avec mes textes, histoire de voir si je peux en séduire une bonne pa­lette. Pour l’instant, j’ai été éditée dans des anthologies (Hydromel, Grrr…Art, CDS) et des fanzines (AOC, Piments & Muscade, Éveil, Transition).

    Que feras-tu avec l’argent de ton premier best-seller ?
    Je m’achèterai un appartement sous les toits de Paris et je demanderai à Invader de décorer ma terrasse avec ses Space Invaders en mosaïque.

  • Hans Delrue part souvent en voyage dans des futurs proches dont il ramène des chroniques sombres et inquiétantes, sans jamais se départir d'une ironie grinçante. Il a participé à diverses anthologies (Éditions Luce Wilquin, Voy'[el], Popfiction, Icare...) et publié des textes dans des revues littéraires en France (Station Fiction, Éveil, Piments & Muscade) et au Québec (Brèves, Virages, Katapulpe).
    Ses nouvelles ont obtenu plusieurs distinctions, dont le 1er Prix Escales des Lettres 2009 (Fête du Livre de Lille) et le 2ème Prix Infini 2009. L'amour à deux temps est son dernier recueil de nouvelles.


    Site : http://www.hansdelrue.com

     

  • Deice est né en 1991, dans un pittoresque village abandonné de Bretagne, on raconte même que la naissance de cet enfant est une légende contée par des créatures féeriques (hum... restons sérieux). Dès son plus jeune âge, il s'est mis à dessiner, dessiner et encore dessiner. Il a toujours porté l'étiquette de « l'artiste », qui est un compliment d'ailleurs, mais pas pour tout le monde...
    Après un parcours scolaire et une enfance des plus banales, Deice a voulu élargir son sens artistique pour s'évader dans d'autres mondes, il apprend la musique, l'art et tout le toutim (il a même eu 19 sur 20 en arts au bac, c'est pour dire quel artiste incroyable il est... en toute modestie bien sûr)
    Après son bac, il décide de faire des études en graphisme publicitaire pendant deux ans. Mais malgré son diplôme en poche il a d'autres idées en tête, c'est bien beau de faire des logotypes et de la mise en page, mais lui ce qu'il préfère avant tout, c'est l'illustration, la vraie ! Du Keith Parkinson, du Karl Kopinski, du Craig Mullins... c'est ça qu'il voudrait faire. Alors depuis l'obtention de son diplôme il s'entraîne avec conviction et enchaîne les projets d'illustration. Il est actuellement coloriste pour BD.
     
    Ses réponses au questionnaire de Proust :
     
    1. Ma vertu préférée : La volonté
    2. Le principal trait de mon caractère : La discrétion
    3. La qualité que je préfère chez les hommes : La gentillesse
    4. La qualité que je préfère chez les femmes : La douceur
    5. Mon principal défaut : Trop introverti (je me suis amélioré)
    6. Ma principale qualité : Être calme
    7. Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : L'amitié que l'on partage
    8. Mon occupation préférée : Créer
    9. Mon rêve de bonheur : Voler dans les airs
    10. Quel serait mon plus grand malheur : Devenir amnésique
    11. A part moi -même qui voudrais-je être : Michael Jackson
    12. Le pays où j'aimerais vivre : La Bretagne mais j'y vis déjà
    13. La couleur que je préfère : Le noir
    14. La fleur que je préfère :
    15. L'oiseau que je préfère : Le rouge-gorge
    16. Mes auteurs favoris en prose : Lovecraft
    17. Mes poètes préférés : De Musset
    18. Mes héros dans la fiction : Capitaine flamme
    19. Mes héroïnes favorites dans la fiction :
    20. Mes compositeurs préférés : Michael Jackson, Stevie Wonder, Freddie Mercury
    21. Mes peintres préférés : Keith Parkinson, Odilon Redon
    22. Mes héros dans la vie réelle :
    23. Mes héroïnes préférées dans la vie réelle :
    24. Mes héros dans l'histoire :
    25. Ce que je déteste le plus : La corruption
    26. Le personnage historique que je déteste le plus : Hitler sans grande originalité
    27. Les faits historiques que je méprise le plus : L'esclavage
    28. Le fait militaire que j'estime le plus :
    29. La réforme que j'estime le plus :
    30. Le don de la nature que je voudrais avoir :
    31. Comment j'aimerais mourir : En combattant un dragon (si je le bats, c'est encore mieux)
    32. L'état présent de mon esprit : Serein
    33. La faute qui m'inspire le plus d'indulgence :
    34. Ma devise : Commence chaque journée comme si elle avait été écrite pour toi !

  • Né à Provins, ville médiévale et souterraine, c’est dans Paris qu’il décida et prit en main sa renaissance, ou plus exactement sa véritable naissance, au tout début des an­nées 80’s. Ce « dans » est à prendre au double sens du terme car à la fois à l’intérieur de la capitale et sous cette ville. Il considère en effet que la vie à la surface n’est pas uni­quement une vie superficielle mais bien une simple « sur[-]vie ».

    Sa véritable vie, là où il s’exprime pleinement, est dans les profondeurs, non pas abyssales mais historiques, de la ville-lumière. À tel point que ce qui lui permet de tenir dans les noirceurs humaines de ce que l’on a pourtant l’habitude d’appeler la civilisa­tion, ce sont ses nombreuses recherches débouchant sur des écrits qui ne sont pas moins abondants : en moyenne une dizaine d’articles par an, sans compter les ouvrages auxquels il prête son concours à défaut de son nom (travaux universitaires, essais, ro­mans, bandes-dessinées, mangas, etc.), les émissions (radios, TV) et les documentaires dans lesquels il intervient. On peut même apercevoir son nom au générique du dessin animé Ratatouille !

    On le comprend et le réalise à la lecture de cette énumération qui pourrait paraître fastidieuse : même quand il n’est pas physiquement sous Paris (ou dans d’autres cavités souterraines artificielles), il y vit par procuration. À chaque instant de sa vie terrestre, tout l’y ramène plus ou moins volontairement.

     

  • Née à Paris en 1977, Misti commence à dessiner vers 16 ans, en noir et blanc pendant de longues années, puis découvre les joies de la couleur grâce à la Société des Pastel­listes de France, dont les maîtres lui enseignent l’art du pastel sec.
    Elle se laisse guider dans cette aventure par ses envies, elle écoute son cœur, inspi­rée par les univers féeriques et souterrains.

    Vous pouvez retrouver l'univers de Misti sur son blog : www.misti-artiste.fr

    Misti répond au questionnaire de Proust :

    1. Ma vertu préférée : le courage
    2. Le principal trait de mon caractère : rêveuse
    3. La qualité que je préfère chez les hommes : la gentillesse
    4. La qualité que je préfère chez les femmes : l’indépendance
    5. Mon principal défaut : expéditive
    6. Ma principale qualité : confiante
    7. Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : l’écoute
    8. Mon occupation préférée : dessiner
    9. Mon rêve de bonheur : l’harmonie entre les peuples
    10. Quel serait mon plus grand malheur ? de laisser mourir le rire dans mon cœur
    11. A part moi -même qui voudrais-je être ? personne
    12. Le pays où j'aimerais vivre : je suis très bien en France
    13. La couleur que je préfère : le noir
    14. La fleur que je préfère : ma fille qui s’appelle Flora
    15. L'oiseau que je préfère : le grand Condor !
    16. Mes auteurs favoris en prose : Maurice Druon, Henri Vincenot, Krishnamurti
    17. Mes poètes préférés : Jacques Delille, Jacques Higelin, Soan, Bill Deraime
    18. Mes héros dans la fiction : Willow (grand courage)
    19. Mes héroïnes favorites dans la fiction : les frangines Cat’s Eyes, Anne Sulivan
    20. Mes compositeurs préférés : Mozart, Beethoven
    21. Mes peintres préférés : Chardin, Picoulet, Frazzeta, Luis Royo
    22. Mes héros dans la vie réelle : Claude Bourguignon, Till Lindemann (dans un autre genre…)
    23. Mes héroïnes préférées dans la vie réelle : Mère Meera,
    24. Mes héros dans l'histoire : le Christ, Bouddha
    25. Ce que je déteste le plus : refaire les mêmes erreurs
    26. Le personnage historique que je déteste le plus : je ne déteste personne
    27. Les faits historiques que je méprise le plus : pas de mépris non plus
    28. Le fait militaire que j'estime le plus : la guerre ne me fait pas rêver
    29. La réforme que j'estime le plus : la fin de la peine capitale
    30. Le don de la nature que je voudrais avoir : la santé
    31. Comment j'aimerais mourir : en paix
    32. L'état présent de mon esprit : en paix
    33. La faute qui m'inspire le plus d'indulgence : la fot d’ortograf
    34. Ma devise : Avance et tu comprendras.

     

  • Depuis toujours, Geoffrey a été tiraillé entre son côté scientifique et littéraire. Le di­lemme a été tranché : tandis qu’il use des sciences dans son métier, il garde l’écriture comme passion, à travers laquelle s’expriment ses visions de mondes étranges et d’aventures fantastiques. Son attirance pour les intrigues historiques et les légendes des temps anciens l’a naturellement poussé à rédiger des nouvelles épiques où se mêlent réel et imaginaire.
    Il n’en reste pas moins ouvert aux autres genres d’écriture, que ce soient de la littéra­ture blanche ou de la science fiction, reflets de ses goûts éclectiques.

    Son portrait chinois :

    Un arbre : un séquoia géant
    Un lieu : la bibliothèque secrète du Nom de la Rose
    Un moment : n’importe quand, sauf le matin au réveil
    Une personne : un mousquetaire du roi
    Un animal : un renard
    Un élément : de l’hélium, pour m’envoler sans risque (à l’inverse de l’hydrogène qui explose)
    Les yeux : d’un marron des plus banals
    Un doigt : l’index, pour que tout le monde s’intéresse à moi au lieu de regarder ce que je montre
    Une couleur : la même que celle de ma voiture après être passée au lavage
    Une musique : un Rock’n Roll britannique
    Une matière : du chocolat
    Un style : la peinture impressionniste
    Un habit : un costume de gentleman cambrioleur
    Une maison : un vaste manoir perdu dans les bois
    Un magasin : une librairie
    Un prof : d’histoire-géographie
    Une ville : une vielle ville médiévale
    Un pays : l’Europe unie
    Un océan : la mer de la Tranquillité sur la Lune
    Une pierre précieuse : le Youkounkoun, le diamant que même un Corniaud peut trouver
    Une saison : l’été indien
    Un bijou : le collier au cou de ma femme
    Un objet : une sonde interplanétaire

     

  • Vaelyane, ou Katia NS, est un individu humanoïde de sexe féminin d'une vingtaine d'années environ. Un peu étourdie, on peut l'entrevoir à l'occasion dans les rues de Strasbourg, systématiquement affublée d'un chapeau à plumes.
    Mélange absurde de monstre hirsute des cavernes et d'aristocrate néo-barococo-steampunko-victorien, elle se passionne d'abord pour l'Histoire de l'Art, avant de se vouer à la pratique du dessin. Illustratrice dans l'âme, et après une formation inachevée dans le domaine du graphisme, elle étudie à présent les arts plastiques à l'université ; la mentalité et les buts complètement différents de ce nouveau domaine la laissent cependant tout à fait perplexe.
    Son rêve, comme bon nombre d'autres aspirants illustrateurs, serait de vivre de ses créations, malgré la nature utopiste d'un tel projet. En attendant, elle étudie, dans l'espoir d'avoir un avenir dans le domaine.
    Pour les quelques curieux intéressés par son travail, celui-ci est visible, en attendant qu'elle ait son propre site, sur sa galerie deviantArt : http://vaelyane.deviantart.com

    Vaelyane répond au questionnaire de Proust, en version abrégée :

    1. Ma vertu préférée : L'honnêteté.
    2. Le principal trait de mon caractère : Le n'importe-quoïsme.
    3. Mon principal défaut : Je suis plutôt maniaque...
    4. Ma principale qualité : … je suis vraiment maniaque, en fait.
    5. Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : Que je puisse compter sur eux comme ils peuvent compter sur moi.
    6. Mon occupation préférée : Qu'il est ardu de choisir entre manger et dormir ! Dans le doute, je vais répondre « dessiner ».
    7. Mon rêve de bonheur : Avoir la paix et l'esprit tranquille.
    8. Quel serait mon plus grand malheur ? Perdre la vue, par exemple.
    9. A part moi-même qui voudrais-je être ? Quelqu'un de moins anxieux...
    10. Le pays où j'aimerais vivre : Mon propre état indépendant, avec pour capitale, mon lit.
    11. La couleur que je préfère : Je ne saurais dire... J'ai, en revanche, une couleur en horreur : le rose.
    12. La fleur que je préfère : Le Coeur-de-Marie, quelle forme étrange !
    13. L'oiseau que je préfère : Le gypaète barbu ! Ne riez pas, c'est un superbe vautour, il pourrait mal le prendre...
    14. Ce que je déteste le plus : Le mensonge.
    15. Les faits historiques que je méprise le plus : les guerres saintes... quel bel esprit de tolérance...
    16. Le fait militaire que j'estime le plus : Savoir éviter une bataille qui peut l'être.
    17. Le don de la nature que je voudrais avoir : S'agit-t-il d'un don possible et réel, ou non ? Si oui, (et si la nature donnait quoi que ce soit, cette vile fourbe) j'aimerais avoir les moyens de lutter contre mon stress.
    18. La faute qui m'inspire le plus d'indulgence : le perfectionnisme. Dans une certaine mesure, ce n'est pas une faute, mais au-delà, il devient handicapant, et plutôt problématique. Bien sûr, je ne blâme aucun perfectionniste, je suis moi-même atteinte de ce terrible fléau !
    19. Ma devise : « J'l'ai mangé. »

  • De formation purement autodidacte, Gilles dessine depuis qu'on lui a appris à tenir un crayon. Véritable passionné d'image, de graphisme, de cinéma et de SF, il tire ses inspirations aussi bien dans le manga, que dans la franco-belge, en passant par la culture pop, l'univers des jeux de rôle, le sport et bien d'autres... Il débute une carrière dans la pub en 1999. Aujourd'hui, après 7 années comme directeur artistique à Colmar, il se lance dans la création de son propre studio. Mais c'est bien dans l'illustration, que ce soit dans l'univers de la jeunesse ou bien dans la fantasy, qu'il prend le plus de plaisir. Membre de l'association "L'Esprit BD" de Colmar, il s'est fixé comme objectif pour les 5 ans à venir, de mener à bien un projet de BD... Affaire à suivre...

    Vous pouvez retrouver l'univers créatif de Gilles Brauneisen et ses différents projets en vous rendant sur son blog : http://www.gb-illustration.com 

     

  • Né le 21/09/66 à Charleville-mézieresIllustration de Cyril Barreaux
    Ardennes – FRANCE
    Illustrateur indépendant

    Passionné de dessins et peintures depuis qu’il est en âge de tenir un crayon.
    Autodidacte, il s’est d’abord spécialisé dans la décoration de véhicules avec une technique de peinture à l’aérographe.
    Puis s’est orienté vers la peinture numérique.
    Il a exposé ses créations originales lors de divers manifestations ayant pour thème : le nu féminin, la féerie ou l’heroic fantasy.
    Passionné par les courbes féminines et l’architecture du corps humain en général, la femme est omniprésente dans ses réalisations.
    Inspiré par Frazetta, Siudmack ou Vallejo pour leurs techniques, il continue son voyage artistique à travers les mondes imaginaires dans lesquels les courbes de fées ne cessent de l’enchanter.

     

     

     

    Découvrez ci-dessous quelques-unes de ses oeuvres :

    Fée boudeuse de Cyril Barreaux

    Oriande 2 de Cyril BarreauxOriande de Cyril Barreaux

    Illustration de Cyril Barreaux

    Arduinna de Cyril Barreaux

     

     

     Son facebook : https://www.facebook.com/cyril.barreauxillustrateur

     

  • Jonathan, pourrais-tu te présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
    Bonjour, je m’appelle Jonathan et je suis un jeune illustrateur belge de 23 ans. J’adore les frites et faire la grasse matinée mais je crois que je m’égare ^^.

    Comment t’est venu le goût du dessin, à quel âge ?
    Oh d’aussi loin que remonte ma mémoire (j’aime parler comme un vieux :) ), j’ai toujours tenu un crayon en main et j’ai toujours dessiné d’abord comme amusement, puis maintenant je veux en faire mon métier.

    Comment abordes-tu la création d’un dessin ? Comment te vient l’inspiration ?
    En général, je pars sur des mots forts qui m’évoque une histoire (ici l’histoire était déjà faite). J’aime beaucoup avoir un coté épique dans mes illustrations (je suis d’ailleurs fan des films comme 300, Gladiateur…).

    Quel est ton endroit favori pour dessiner ? As-tu des rituels ?
    Pour dessiner, il me faut 3 choses :
    – 1 (le plus important) Un endroit chaud, je hais le froid.
    – 2 Une boisson sucrée… COCA <3
    – 3 De la musique, ça me donne toujours la pêche.

    As-tu un dessin dont tu es particulièrement fier ? Voudrais-tu nous le montrer ?
    Illustration de Jonathan fievetIllustration de Jonathan fievet

    Ces deux là, le premier, car j’ai beaucoup travaillé sur la double ambiance et le deuxième, car je me suis beaucoup amusé sur le concept des dames de carte (ici de pique).
    Et voici mon blog.

    Quels sont tes illustrateurs favoris ? Influencent-ils tes dessins ?
    J’en ai beaucoup mais les artistes qui m’influencent le plus sont :
    – Barbara Canepa, qui a fait Skydoll, End…
    Ci-dessous une illustration de Barbara Canepa :

    illustration de Barbara Canepa


    – J’aime énormément Kekai Kotaki, qui a bossé pour guild wars par exemple.
    Ci-dessous une illustration de Kekai Kotaki :

    illustration de Kekai Kotaki

    – Aleksi Briclot, que j’ai eu la chance de rencontrer deux fois.
    Ci-dessous deux illustrations d’Aleksi Briclot :

    illustration d’Aleksi Briclotillustration d’Aleksi Briclot

    Est-ce que tu as un style de dessin que tu préfères ? Y a-t-il des projets d’illustration que tu refuserais ?
    En général, je suis plus dans quelque chose d’assez réaliste, j’ai beaucoup de mal à déformer mes personnages (cartoon, illustration jeunesse) et donc si on me proposait un boulot là-dedans je refuserai sûrement, car, pour moi, je n’aurais pas les capacités de le mener à bien.

    As-tu une anecdote à nous raconter sur ton parcours artistique ?
    C’est plus une situation mais les gens voient souvent les artistes comme des gens cool, alors qu’en général quand on se présente ça donne ceci :
    Moi : Salut, tu fais quoi ?
    Autre étudiant : Moi je fais un Master en marketing et toi ?
    Moi : Ah ben moi j’suis illustrateur et j’dessine (et j’ai vraiment l’impression de passer pour l’abruti de service xD).

    Quels sont tes projets ?
    D’abord et surtout trouver du travail dans le milieu et arriver à en vivre. Et puis comme j’ai toujours plein d’idée en tête plus tard faire ma propre BD me plairait énormément.

    Pour conclure, qu’as-tu envie de nous dire ?
    Juste un petit détail que les gens oublient souvent mais c’est que la qualité d’un artiste n’est pas dû à son talent mais à ses efforts (l’art n’est pas quelque chose d’inné mais quelque chose qui se travaille toute une vie ^^).

    Retrouvez l’univers et les créations de Jonathan Fievet sur son blog !

     

  • Pourrais-tu te présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
    Mon nom d’artiste est AbigailDream et cela fait maintenant presque deux ans que j’exerce ma passion dans le domaine de la création digitale. J’illustre des romans, des nouvelles, des webzines… Et je prends un immense plaisir à créer, quel que soit le support, que ce soit digital (photomanipulation) ou manuel (dessin, peinture…).

    Comment t’est venu le goût du dessin, à quel âge ?
    Je dessine depuis que je suis toute jeune, beaucoup de nus, d’anatomie, mais mon style a radicalement changé lorsque j’ai découvert la photomanipulation et l’art digital. J’ai alors commencé à pouvoir réellement faire partager mon imaginaire. Aujourd’hui, je trouve un immense plaisir à exercer ma passion d’artiste digitale, mais je continue toujours mes dessins « sur papier » qui m’aident à enrichir mes autres créations.
     
    Comment abordes-tu la création d’un dessin ? Comment te vient l’inspiration ?
    La plupart du temps j’ai dans la tête un thème, une idée (assez vague) et la réalisation vient au fur et à mesure, en fonction des images que je vais trouver, et généralement ce sont les couleurs que je choisis qui vont façonner et faire la plus grande partie du travail. Je ne pars jamais avec une idée très précise en tête, je me laisse guider au fur et à mesure.

    As-tu un dessin dont tu es particulièrement fière ? Voudrais-tu nous lemontrer Set free par AbigailDream?
    J’aime particulièrement l’illustration « Set Free » pour sa grande simplicité, le fait qu’elle soit en noir et blanc et ses centaines d’interprétations possibles… J’ai évidemment des préférences quant à mes autres créations, mais celle-ci reste pour moi la plus parlante.

    Quels sont tes illustrateurs favoris ? Influencent-ils tes dessins ?
    Quelques illustrateurs m’inspirent tel que Alan Lee (encore et toujours) ou Maliciarosenoire, mais je suis en réalité particulièrement influencée par des romans, des auteurs tel que Tolkien, Pierre Bottero, Anne Rice… ou des cinéastes, notamment Tim Burton. J’aime lire un livre ou voir un film et en imaginer ma propre interprétation.

    Quels sont tes projets ?
    J’ai de nombreux projets de couvertures de romans en cours. Mais j’ai également des projets personnels, j’aimerais notamment réaliser une série d’illustrations sur un thème précis qui me permettrait de sortir de mon style d’illustration habituel. Affaire à suivre…


    Retrouvez l’univers d’AbigailDream sur DeviantArt !

  • Pourrais-tu te présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
    Mickael, 32 ans, né dans la région de Montluçon, graphiste illustrateur en auto entrepreneur depuis peu.

    Comment t’est venu le goût du dessin, à quel âge ?
    Depuis que je sais tenir un crayon, ça a toujours été un passe-temps, et j’essaye maintenant d’en faire un métier.

    Comment abordes-tu la création d’un dessin ? Comment te vient l’inspiration ?
    Ou j’ai tout de suite une image qui me vient dans la tête, et il n’y a plus qu’à la ressortir sur papier ou sur l’écran (pas toujours facile), ou en griffonnant plusieurs idées, et en mélangent le tout.

    Quel est ton endroit favori pour dessiner ? As-tu des rituels ?
    Mon bureau encombré, pas de rituel spécial.

    Quels sont tes illustrateurs favoris ? Influencent-ils tes dessins ?
    Il y en a pleins de Bilal à Royo… Ils influent sûrement un peu mon travail. Mais surtout ça me pousse à travailler, évoluer et m’améliorer.

    Est-ce que tu as un style de dessin que tu préfères ? Y a-t-il des projets d’illustration que tu refuserais ?
    Non, pas spécialement, je suis pas trop fan du style manga. Je pense pas refuser de projets, à part s’ils sont vraiment au-dessus de mes capacités.

    Quels sont tes projets ?
    Pour le moment, essayer de gagner un peu d’argent avec mes créations, ça serait bien. Et m’occuper de ma fille de 6 mois, ce qui prend pas mal de temps !

    Pour conclure, qu’as-tu envie de nous dire ?
    Bonne continuation à Mots & Légendes, et peut être à bientôt pour une autre illustration.

     

  • Pourrais-tu te présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
    Sedenta (ou Sed, au choix), 24 ans, dessinatrice amatrice et qui a envie de le rester parce que 1) je ne suis pas assez douée pour devenir pro, 2) je ne dessine pas aussi souvent que je le devrais et du coup je progresse lentement et 3) le dessin est un passe-temps, un moment de détente qui perd, à mes yeux, tout son charme dès que je réalise une commande.

    Comment t’est venu le goût du dessin, à quel âge ?
    Pour le comment, je ne suis pas certaine de pouvoir répondre puisque je ne suis même pas certaine de le savoir.
    Pour l’âge, j’ai commencé mes premiers gribouilles (à la maternelle, certes, mais là j’entends « sérieusement ») au lycée. C’était affreux. Puis j’ai arrêté quelques années et je n’ai repris sérieusement qu’en 2007/2008.

    Comment abordes-tu la création d’un dessin ? Comment te vient l’inspiration ?
    L’inspiration me vient de mes propres univers et personnages (même si c’est laborieux) ou des univers d’amies/copinautes et autres gens virtuels en -autes. Il m’arrive quelques fois de dessiner pour exprimer un sentiment, mais ça reste rare.

    Quel est ton endroit favori pour dessiner ? As-tu des rituels ?
    Mon endroit favori pour dessiner et le même que pour écrire : mon bureau, avec de la musique et le ronronnement de mon vieil ordi qui a 7 ans, c’est important de le noter et ça mérite même des applaudissements ! (bon, j’ai quand même un ordi portable récent pour pouvoir jouer aux jeux FB.)

    As-tu un dessin dont tu es particulièrement fière ? Voudrais-tu nous le montrer ?
    Ouep ! J’en ai un, mais vu qu’il servira de couverture à un de mes romans, je vous le montre pas !

    Quels sont tes illustrateurs favoris ? Influencent-ils tes dessins ?
    Y’en a plein, mais les premiers qui me viennent en tête sont Orpheelin, Vyrhelle (Virginie Léonard), Paulo Barrios, Luis Royo et M.L. Versini. Mais il y en a beaucoup d’autres.
    Est-ce qu’ils m’influencent ? Oui, à coup sûr. Je suis admirative de leur technique alors forcément, même inconsciemment, ça me donne envie d’arriver au même résultat. Dans dix ans peut-être ? Plutôt vingt-cinq.

    As-tu une anecdote à nous raconter sur ton parcours artistique ?
    Je ne pense pas. Ou tout du moins elle ne m’a pas assez marquée pour que je m’en souvienne.

    Quels sont tes projets ?
    Niveau dessin, le seul projet que j’ai c’est d’illustrer mon diptyque Sighild. Sinon, je prends ce qui vient et quand ça vient.

    Pour conclure, qu’as-tu envie de nous dire ?
    Respect !

    Retrouvez l’univers et les créations de Sedenta Kernan sur son DeviantArt !

     

  • Thomas Spok mène une fausse vie de bohème entre pays de cocagne et jeu de dupes. Il passe le plus clair de son temps à broyer du noir et à rire sous cape, parfois simultanément. On pourra lire de lui :


    – des fragments poétiques dans l’anthologie Respondances, coédition ENBA Lyon et ENS Lyon : Proposition d’existence (2010)
    – des contes dans les n°1 et 2 du webzine le Cahier du Baratin : Portrait de l’artiste en Narcisse, Au grand hôtel, Grandir, Parole d’artiste, Une bonne histoire, Peau-rouge (2010)
    – un texte bref dans le webzine Vanille Givrée n°9 : Vénus (2010)
    – une nouvelle dans le n°3 de la revue papier Pénombres : Transperrance (2010), ainsi qu’un poème dans le n°5 : Le pacte (2011)
    – une nouvelle dans le webzine Squeeze n°2 : Sniper (2011)
    – un récit dans la revue papier Katapulpe n°11 : Récit (2011)
    – trois nouvelles dans les n°9, 11 et 12 du webzine d’OutreMonde : Dans la peau (2010), Après la pluie (2011) et Non coupable (2012)
    – une nouvelle dans le webzine Brèves du Crépuscule n°5 : N’être (2012)
    – un texte bref dans la lettre n°100 du club Présences d’Esprits : Les yeux d’Argus (2012)
    – aux éditions La Madolière, une nouvelle dans l’anthologie Morts dents lames : Entrez, dit-il (2012)
    – un recueil de poèmes aux éditions Delatour : Les pas d’Orphée (2012)
    – deux nouvelles dans les n°6 et 8 du webzine Mots et Légendes : La traque (2012) et Parfum de femme (2013)
    – aux éditions Sombres Rets, une nouvelle dans l’anthologie Histoires d’Amour : L’Impromptu de la noce (2012) ; une nouvelle dans l’anthologie Le Monde de la Nuit : Nocturnes du sableur (2013)

     

  • Cette présentation a été réalisée pour le webzine numéro 8 de Mots & Légendes pour la nouvelle : La ménestrel des steppes.

    Loïc Henry est né en 1971, un jour de Samain, d’un père cornouaillais et d’une mère léonarde. Bercé par les aubades océanes pendant son enfance et son adolescence, il a quitté les korrigans et les « bugale an noz » pour poursuivre ses études à Lille, en Angleterre puis à Paris. Il a ensuite rejoint le lointain Orient pour travailler deux ans au cœur d’un Hong Kong encore britannique, avant de revenir en France en 1997.

    Retrouvez l’actualité de Loïc Henry sur son site !

  • Né au milieu du XXème siècle, Didier Reboussin a été élevé au Fleuve Noir sous la mère. Pour lui ses classiques ne s’appellent pas Victor Hugo, Théophile Gautier ou Honoré de Balzac mais Richard Bessière, Jimmy Guieu, Stefan Wul, Francis Carsac ou Kurt Steiner.
    Il a découvert un jour la revue Fiction chez un libraire et un nouveau monde lui a été ouvert à cette occasion : celui de la SF anglo-saxonne. Il a donc ajouté à sa liste des incontournables Clifford Simak, Théodore Sturgeon, Robert Silverberg, Brian Aldiss, Jim Ballard, John Wyndham, Arthur C Clarke et bien d’autres.
    Un autre jour il a lu son premier texte de Nathalie Henneberg et ne s’en est jamais remis. Il s’efforce désormais de promouvoir son œuvre et de publier ses inédits.
    Puis il a rencontré des gens aussi tarés que lui et ensemble, ils ont entrepris de se lancer dans le fanzinat. C’était il y a une éternité, Pompidou regnante…
    Ainsi de fil en aiguille, il est allé comme un grand dans des conventions de science-fiction et il a encore rencontré des tas de gens. Beaucoup ont cassé leur pipe depuis, mais il reste encore quelques survivants.
    Et évidemment, ce qui devait arriver s’est produit : ce petit malin a attrapé le virus de l’écriture et s’est mis à pondre des articles, des critiques, des commentaires dans diverses revues et fanzines. Il s’est même essayé à la nouvelle sous son nom ou sous pseudo. Puis il s’est désengagé un long moment du monde du fandom et a attendu d’être bien oublié avant de revenir. Aujourd’hui il casse les pieds des malheureux initiateurs d’AT en leur proposant ses élucubrations. Se sachant plus près du cimetière que du berceau, et pour filouter la camarde, il a décidé de rentrer à l’Académie Française pour devenir immortel.
    Il hante parfois les pages de Rivière Blanche, de Géante Rouge, du Météore, de Quinzinzinzili, de l’Armoire aux Épices et de la webrevue concurrente Univers.

  • Marine Karmowski mais Mar.K c’est plus court et plus simple à retenir.
    Née en 1991, dessinatrice et artiste de cœur et d’études : fait sa licence à l’école supérieure d’art de lorraine (Metz) puis quitte le confort de la vie estudiantine pour se confronter au monde des adultes responsables.
    Actuellement Graphiste et Webdesigner, espère améliorer ses compétences pour mettre en œuvre de beaux projets à l’avenir.
    Mots clefs de son univers : surréalisme, onirisme, absurdité, détails, obsession.
    Il y a tout un tas de ses dessins dans son blog et sur son portfolio.

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