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Je n'aime pas Facebook, mais j'y suis. Pourquoi ? Parce qu'effectivement, il paraît qu'il faut y être quand on est auteur.
Maintenant, on n'a pas encore réussi à me persuader que ça m'amène beaucoup. J'ai même l'impression que ça ne m'amène pas grand chose.
Donc, j'y passe quotidiennement, mais je n’interagis que peu.
Moi, j'aime le côté convivial des forums, ce que je ne trouve pas sur Facebook.
Salut Oliv. Content que tu te sois inscrit sur le Forum. Bienvenue à toi ami "Maudit"
Je suis assez d'accord avec toi pour ce qui est des réseaux sociaux ou malheureusement, quand on est un auteur, il faut souvent passer par là pour avoir de la visibilité.
L'autre problèmes des réseaux sociaux quand on est un créatif (là je parle au sens large : Auteurs, Illustrateurs, Compositeurs, Créateurs de contenus genre Youtube) c'est qu'avec les réseaux, il y a toujours les relous en mode : "Plutô que de poster des trucs, on attends toujours le (insérer titre au hasard)".
Chose que l'on ne trouve pas sur les Forums et c'est tant mieux
Franchement, très franchement, les réseaux, j'étais enthousiaste comme tout le monde au début puis j'ai déchanté.
Je me demande même si ce n'est pas plus une source d'emmerdes qu'autre chose pour un créatif.
Enfin moi, ça m'a plombé plus qu'autre chose: si je n'avais effectivement rencontré quelques vrais amis par ce biais, je n'y serais plus. J'ai un compte miséroïde avec une centaine de contacts dont des gens de ma belle famille.
Le forum a des thématiques, des règles, une modération qui fonctionne et la conversation "différée" limite le harcèlement, le trollage, oblige à tourner sept fois sa langue dans sa bouche etc.
Les réseaux révèlent le côté le plus hypocrite et le plus vomitif de gens dont tu pensais du bien. Côté créatifs on assiste aux guéguerres entre auteurs, aux intrigues minables, sans compter ceux qui se prennent pour des jean-Paul Sartre ou des mère Beauvoir, voire pour des Robespierre de salon. Qui mélangent la politique (de comptoir) avec leurs histoires. Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas très "réseaux".
"Magic dragon spits tracing bullets expose our hiding place.
Magic dragon iron monster destroys, with rage"
Sans penser à l'aspect purement créatif, j'ai souvent l'impression que les réseaux sociaux sont une source d'énergie négative... On y voit de belles choses, de beaux élans, mais je vois aussi beaucoup trop de comportements qui me dépriment et me donnent une vision très noire du monde ou de l'humain... Après je ne sais pas si c'est constructif de s'en tenir loin pour éviter cette mauvaise énergie, mais ces derniers temps, j'ai tendance à le faire.
napalm dave écrit: Franchement, très franchement, les réseaux, j'étais enthousiaste comme tout le monde au début puis j'ai déchanté.
Ah non, je suis peut-être un cas unique mais je n'ai jamais été enthousiaste : dès le départ j'ai trouvé aberrant ce concept où la moindre de tes actions est immédiatement et simultanément connue par ta mère, ton éditeur, ta collègue de la compta et ton ancien pote de collège... Alors que quand tu écris un truc sur un forum de fantasy, tu sais que ce sera lu par des lecteurs / auteurs de fantasy, et pas par des gens de ton entourage mais qui ne font pas partie de ce cercle là. (Autrement dit, pour préciser ma pensée, ce sont les réseaux universels de type Facebook qui me hérissent, et pas les réseaux spécialisés, "cloisonnés", tels que LinkedIn ou Babelio > je suis d'ailleurs continuellement présent sur ce dernier depuis près de dix ans)
Et salutations au quelques retardataires (Asavar, Kith...) qui viennent de rejoindre cette conférence exceptionnelle sur "Le rejet de Facebook et compagnie en l'an 2017".
Comme toi, jamais été enthousiaste par rapport à Facebook. Ça m'a aussi toujours semblé aberrant cette propension à raconter le moindre de tes faits et gestes à la face du monde : "j'ai fait caca, puis j'ai mangé un croissant, le téléphone a sonné, c'était une erreur".
Je m'y suis inscrite il y a des années par curiosité, et je ne l'ai pas utilisé pendant des plombes. Je n'avais rien à y dire, et ça ne m'intéressait pas ce qu'on y racontait. Maintenant, je m'en sers pour partager mes publis, des info sur le domaine littéraire, pour liker les statuts des copains, parfois les partager, mais je ne m'y sens toujours pas à l'aise.
Les forums, c'est en général ciblé, on y parle d'une passion commune aux membres. Tu ne verras pas apparaître des trucs sur le tricot ou sur les petits chats dont tu n'as rien à foutre (sans médire sur les amateurs de tricot ou de petits chats).
Un forum, c'est comme un club virtuel, Facebook non. C'est une sorte d'énorme gazette où l'on apprend tout de tout le monde, des info qui n'intéressent personne aux dernier attentat en Asie, en passant par les passions de chacun et les rumeurs les plus bizarres qui soient.
Bref, c'est pas pour moi. Moi, pour exister un peu, j'ai besoin d'un groupe plutôt réduit aux intérêts communs.
Catherine Robert écrit: Les forums, c'est en général ciblé, on y parle d'une passion commune aux membres. Tu ne verras pas apparaître des trucs sur le tricot ou sur les petits chats dont tu n'as rien à foutre (sans médire sur les amateurs de tricot ou de petits chats).
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