Mots & Légendes est à la fois une maison d'édition et un site traitant de l'actualité de l'imaginaire, de préférence des petites structures. N'hésitez pas à venir participer au forum ou découvrir nos livres numériques.
Je trouve. C'est toute la différence entre ceux qui veulent participer à un projet et ceux qui veulent juste caser des textes. Ces derniers considèrent les structures de publication comme des outils à leur disposition. Je suis content d'avoir appris, ici et chez quelques autres, une autre conception du métier.
Je suis d'accord avec toi. Le coté communautaire (renforcé comme ici par exemple avec un forum) permet de créer un vrai lien entre les auteurs et donne envie de participer à la vie de tous les jours, être heureux de voir nos confrères se faire publier et pas juste de caser des textes à soi.
Main droite presque paralysée aujourd'hui. Fichue arthrose, et merci aux clients sans pitié. Pas moyen de faire autrement au boulot, j'ai un loyer à payer. Même si j'avais encore des choses à dire, je vois mal comment continuer à écrire pour mon plaisir. C'est contrariant.
Je n'ai jamais essayé, mais il paraît que certains logiciels retranscrivent l'oral à l'écrit. Cela pourrait limiter l'usage du clavier pour tes romans.
Si vous voulez voir les mêmes parler des mêmes avec les mêmes dans un petit entre-soi balisé que même le monde littéraire de la blanche germanopratine pourrait nous envier, il y a une souscription ouverte :
C'est pas si mal. Il fallait que ce soit fait un jour. Il fallait bien mettre en avant qu'il existait un imaginaire francophone qui ne soit pas uniquement une copie de ce qui se faisait chez les anglo-saxons. Mais c'est vrai que certains participants (genre Damasio et ceux qui lui ressemble) n'ont pas grand chose à faire. l'éditeur de la Vote non plus d'ailleurs.
Par contre l'absence d'érudits comme Richard D Nolane, Charles Moreau, Jean Luc Rivera ou Guy Costes c'est une faute de goût impardonnable.
Mais à côté de ça il y a des gens valables que ce soit côté auteurs, éditeurs ou universitaires.
D'accord point par point : c'était nécessaire, il y a des intervenants intéressants, mais il y a des manques impardonnables et des présences extrêmement superflues, qui ne sont là que parce qu'elle sont toujours là.
Un jour on fera le nôtre, sur les micro-maisons d'édition. Le sujet ne sera pas aussi vaste, mais il y aura enfin des têtes inconnues et des discours inhabituels !