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Je sens qu'il va falloir créer le collectif Triton pour contrer le collectif Zanzibar. Déjà rien que le nom justifierait la différence (la civilisation créé par Delany dans Triton est passionnante et positive et annonce pas mal de signaux faibles d'aujourd'hui).
Le solarpunk c'est une littérature qui présente un monde où l'humanité à triomphé de la crise écologique grâce aux énergies renouvelables, au biomimétisme et autres technologies qui sont déjà là aujourd'hui mais que l'on décale à leur paroxysme. Un futur où l'homme vit en paix avec la nature tout en ayant évolué socialement et technologiquement.
Cercle vicieux ! Dès lors qu'on attend d'un service public qu'il soit rentable (afin de gorger de subventions, de défiscalisations, de plans de sauvetages et de CICE des activités économiques nuisibles à tout autre que les actionnaires), l'impact sur tous et sur l'économie réelle est immédiat. Ça va devenir problématique pour les envois des éditeurs, en effet...
L'ennemi du smartphone développe des applis sur Android et iOS. Il est vrai qu'il n'aime rien tant que donner des entretiens aux journaux de milliardaires pour y vanter la sortie du capitalisme.
J'apprends grâce au New Yorker que l'auteur du très surestimé Le problème à trois corps (dire que j'ai dépensé 20 balles là-dedans) et de ce qui est devenu le plus hilarant nanar de Netflix, Wandering Earth, est par ailleurs un petit toutou obéissant du parti, prompt à justifier n'importe quel crime du gouvernement chinois, camp de concentration compris. Certes, on ne juge pas une œuvre à son auteur, mais il y a quand même parfois des passerelles de l'une à l'autre (on ne trouve que grâce et élégance dans la musique de Mozart, à rebours de sa correspondance, mais c'est l'une des exceptions qui confirment la règle).
J'étais intéressé par le documentaire Une France qui se tient sage, qui sort aujourd'hui. Mais je n'irai pas. J'ai regardé la bande-annonce, et la première tête qu'on voit, c'est Damasio !
On va croire que je suis obsédé par ce scribouillard, mais ce n'est pas moi le problème : où qu'on se tourne (radio, télé, cinéma, journaux, magazines, fanzines, blogs...), on tombe systématiquement sur le plumitif de cour. Ce n'est pas nous qui le traquons, c'est lui qui envahit tout !
Et le gars continue de parader comme s'il était hors système...
En plus avec Catherine Dufour à peine moins omniprésente.
Il fut un temps où ceux que l'on voyait s'appelait : Bordage, Lehman, Wagner, Genefort ou Ayerdahl.
Ce dernier serait encore vivant je pense que l'imposture Damasio aurait déjà éclaté.
Dernière édition: 20 Oct 2020 19:42 par Fabien Lyraud.