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Guillaume écrit: celui que j'ai préféré est la confiance : la psychologie du personnage principal, le concept de symbiose, j'ai beaucoup aimé ce texte et l'ambiance qui s'en dégage.
Numéro téléchargé à l'instant. C'est du très bon boulot comme d'habitude. Bravo à tout le monde ! * plonge tête la première dans le numéro 4 avec son tuba, ses palmes et son fouet *
Côté illustrations, il y a des styles très différents au menu. Si la couverture de Nalex n'est peut-être pas aussi impressionnante que les trois précédentes, à l'intérieur on trouve de belles perles. Bien sûr, on peut s'émerveiller de la superbe affiche (on dirait celle d'un film) de Martine Fassier pour L'ombre de Babel, Le côté Frazetta du Protecteur de Didier Normand, où l'aspect merveilleux de L'empreinte du Mal d'Yvan Villeneuve qui a une très forte puissance évocatrice. Les Illus de Gwenran et Simon Boissard (qui me fait immanquablement penser à Christine de Carpenter/S. King) sont pour le coup différentes et ressortent bien du coup, ce qui forme un joli livre d'images.
Côté nouvelle :
L'Ombre de Babel est une ouverture très réussie sur le thème proposé. C'est concis, très fluide, très logique et la progression dramatique est bien rendue. Le texte a la qualité d'aller à l'essentiel sans prendre de chemins détournés, la découverte du "don" n'en est que plus prenante et étonnante. J'ai vu il y a quelques temps L'Homme sans Age de Francis Ford Coppola, et la nouvelle compléterait bien le propos de ce film (où l'on se propose de retrouver les origines de langage). Bravo à Hans Delrue !
J'ai des sentiments plus mitigés sur Vivre de ses dons. J'ai trouvé les personnages très antipathiques mais l'ambiance dégagée par le texte (on pense plus facilement au film noir) rattrape bien la chose. Et la conclusion ouverte permet de voir germer l'idée de quelque chose de plus grand... sans qu'on ait droit d'en profiter. Frustrant.
Le Protecteur a un concept de base intéressant et le récit est bien mené. C'est difficile de s'enthousiasmer car le texte est très court et n'a rien de coup de poing tant on s'attend à la frustration de ce héros. Et pourquoi ce découpage en "mini-chapitre" ?
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