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Matinée infernale, mais ça commence à se calmer. Alors, LCDJ étant pour le moment entre le mains d'Anthony, je fais des recherches pour mes vagues projets. Et là, Internet est merveilleux (comme bibliothèque de recherche) et redoutable. Autant, quand j'ai fini la phase préparatoire et quand j'écris, alors j'écris, sans me laisser distraire, que ce soit sur papier ou écran, et j'avance vite. Autant, pendant les recherches (surtout celles qui ne m'intéressent pas, et je m'en fous des baïnes, des courants d'arrachement et des grommets), je me laisse distraire. Je commence à écouter des vidéos de sauveteurs sur les brisants et je me retrouve à regarder la plus grande Cup Song du monde. C'est navrant...
Bravo pour cette nouvelle parution ! Je vais en faire un article et partager dans les jours qui viennent ! (C'est une grosse période de parutions pour les auteurs de M&L en ce moment)
Merci beaucoup ! En toute honnêteté, alors que certaines sorties ont un gros sens pour moi (Les Chasseurs noirs, prochainement Téra-République ou encore Kraken Krak et Terre des loups), celle-là me laisse froid. La nouvelle n'est pas bonne, elle a eu plus que ce qu'elle méritait en apparaissant dans Galaxies, et la constitution de cette anthologie pour laquelle je n'ai eu aucun avertissement, aucune demande d'autorisation, aucune explication, rien, jusqu'au jour du BAT, me paraît à la fois une énorme blague et un truc un peu minable. Bon, je ne voulais pas jouer les mauvais coucheurs, donc j'ai donné mon autorisation a posteriori, mais honnêtement, j'espère que Rivière Blanche fera son beurre cette année avec d'autres publications que celle-ci.
Non, en effet. Heureusement, mes quelques expériences néfastes dans l'édition sont plus que largement contrebalancées par les bonnes, et le bilan des dix premières années (je fête mes 10 ans d'écriture l'année prochaine ) est très nettement positif quant aux relations humaines. Après, il y a une poignée de souvenirs qui piquent, c'est inévitable.
C'est pour cela que je suis très heureux d'éditer surtout en famille : ici, chez Otherlands, l'an prochain chez Pulp Factory. On y est quand même bien mieux.
En dix ans, on ne peut pas éviter d'avoir du mauvais... Y a de tout dans l'édition et t'avais eu un petit échantillonnage de ce qu'un éditeur peut devoir gérer avec CE. Au final, faut se focaliser sur le positif et ne pas trop s'attarder sur le négatif, sinon on avancerait plus.
Je m'y retrouve aussi, avec cette envie de souvent travailler avec les mêmes auteurs !