Merci pour tes pistes de travail !
C'est complexe de comparer les deux marchés, car j'ai l'impression que dans le domaine de la 3D, les clients cherchent quelque chose, ils ont un besoin et le vendeur peut le combler. Quelque part l'acheteur vient chercher un gain de temps ou une solution à son problème.
Dans le cadre du livre, on ne peut pas espérer vraiment rebondir sur cet aspect, car on fournit un divertissement, mais ce divertissement n'est pas vraiment une solution à un problème. C'est probablement ce qui rend si complexe la vente de livres. (J'ai pas mal zieuté les conseils de ventes et tout ça, sans vraiment trouver comment l'appliquer au livre)
Y a peut-être que quand un livre ou un auteur devient populaire qu'il provoque une sorte de besoin de lire ce que les autres lisent... Mais il faut arriver à ce stade.
Dans l'édition, il y a le même paradoxe pour le prix, un prix trop bas peut donner l'impression d'un manque de qualité... Mais en même temps, je ne m'imagine pas faire payer un livre numérique à 10 euros. Dans le fond, à cause du travail pour le publier, ce prix serait mérité, mais dans la pratique, on n'a pas les mêmes charges qu'avec un livre papier, on ne peut pas honnêtement aligner les deux prix.
Je suis d'accord sur le fait qu'il faut que j'augmente ma flotte de livres payants. Ne serait-ce que parce que les corrections me demandent énormément de temps et pendant que je corrige, je ne communique pas et l'inverse est vrai également. Je dois chercher davantage à rentabiliser mon temps.
Je suis dans une journée où ces mauvais résultats vident mon énergie (je pense que ça se sent dans mon message), mais comme plein de choses sont en route, les choses vont repartir et l'énergie revenir !