Jeb

Merci ! Si seulement...

En attendant, j'ai terminé le premier jet d'un chapitre de mon roman sur les enfants soldats (Protocalypse, titre temporaire). Ce sera beaucoup plus sérieux que tout ce que j'ai écrit jusqu'à présent, me semble-t-il. Un de mes copains de classe, quand j'étais enfant de troupe, me disait "Il faut viser haut pour arriver bas". Je vais donc l'écrire dans la perspective du Goncourt !

C'est super d'avoir bouclé un chapitre de ton roman, courage pour la suite !

Je partage la philosophie de ton camarade de classe, je pense que c'est bon de viser haut, même si on n'atteindra sans doute jamais le sommet, car malgré tout on arrivera toujours un peu plus haut que si on avait visé plus bas. Me semble aussi que j'ai déjà lu ça dans un manga, mais je serais incapable de me souvenir du nom

Courage pour le Goncourt !

Merci ! Mais le seul vrai gagnant d'un Goncourt, c'est le juré : le jury se réunit toujours à la meilleure table de Paris !

Je propose de se réunir autour la meilleure table de Paris, sans faire de concours !

Non, reste, c'est une excellente idée !

On arrivera bien à s'organiser ça

En attendant, j'ai décidé de faire du commercial. Me voici donc en 11e position des ebooks les plus vendus sur Relay.com (si vous êtes de ma génération, vous avez connu son ancêtre dans les gares, le célèbre "Relais H"). Vous noterez que j'écrase sans difficulté le Coffret spécial patrons sexy.

Heureux que tu sois devant les patrons sexy! Parce que ce que l'on ne dit pas c'est que derrière l'apparence ils sont souvent pourris de l'intérieur du fait de baigner dans leur orgueil!
Bref, j'avais bien aimé Sauvetage, une nouvelle sans grande prétention mais vraiment bien menée. Aujourd'hui il me reste une couleur dorée de ce texte, un ado, un entrepôt rempli de gamins et un bot chromé qui lance des gerbes d'étincelle et meurt dans un bruit de décompression en crachant un ultime nuage noir. Des sensations et des images qui me restent donc. C'est important.

Merci ! Oui, Sauvetage était une petite nouvelle toute simple, du genre que je n'écrirais plus aujourd'hui. Mais j'avais de l'affection pour les eiffels, ces malheureux automates atteints par la rage.

Pour le reste, entre hier et aujourd'hui, rien qu'avec nos deux clients principaux, 100 000 mots de traduction viennent de tomber. Je ne suis donc pas sûr de repasser ici avant... un certain temps. Alors soyez sages en mon absence !

Je suis à la bourre, mais bravo pour la 11e place !

Je t'envoie plein de courage pour les traductions qui viennent d'arriver !