Captain Marlowe

Très bonne question...
On verra à l'usage, mais je ne pense pas. Là, j'avais une idée si précise de ce que je voulais, dont la chute (la phrase la plus importante d'un roman, à mon avis), que j'ai voulu la fixer tout de suite.
Mais ça n'interdit pas du tout de la réécrire plus tard si le développement m’entraîne dans d'autres directions.

C'est un bon rythme, 1500 mots dans la journée. Perso, j'ai beaucoup écrit aussi dans des périodes difficiles : on s'évade mieux en écrivant qu'en lisant ou en regardant des films, je trouve. Bon courage, pour l'écriture et pour le reste !

Dans les 500 mots, aujourd'hui, je pense. C'est lent, mais globalement dix fois plus rapide que ma moyenne hebdomadaire !

Félicitations ! Moi rien, décidément rien : j'en profite pour avancer lentement dans le roman de Kevin, et je me console qu'entre mes deux romans et mon recueil de nouvelles à paraître, je peux encore entretenir l'illusion que je fais quelque chose...

Bonne continuation !

Cheers !


Le fait d'avoir déjà la fin change quelque-chose dans ta façon de rédiger alors ?

Pas pour le moment. En général, quand je me lance dans la rédaction, j'ai déjà une idée très précise de ce que je veux et j'en dévie assez peu (à titre d'exemple, j'ai fait le plan en mai dernier pour ne vraiment commencer à écrire qu'il y a un un petit mois. Le reste du temps a été passé à ressasser l’histoire en boucle, je la connais donc déjà presque par cœur). Du coup, le fait d'avoir déjà écrit la fin est dans l'immédiat sans impact. On verra en cours de route si je dévie - mais vu que sous les dehors d'un drame psychologique, on est surtout dans un manifeste politico-social qui résume toutes mes névroses du moment, c'est assez peu probable.

Ressasser, je connais bien ! C'est comme ça que je trace mes plans de roman ! Tu as un squelette ? Une structure ? Ou juste une idée/direction ? Quelle forme a ton plan ?

J'ai environ deux pages de notes manuscrites sur l'intrigue générale et la psychologie des personnages, plus un "plan" d'une trentaine d'alinéas qui décrivent en cinq à dix mots un fait marquant.
Le roman doit faire trois parties, mais je ne sais pas dire si elles seront de taile égales ou pas, ça, ce sera la magie de l'écriture !

Un petit millier de mots hier soir sur le roman de blanche. En revanche, point mort sur celui de fantasy.
Ce que c'est de vouloir faire trop de choses en même temps...

Oui, j'ai du mal aussi. En ce moment, je ne fais rien, je me repose en attendant de prendre la suite de La Compagnie.