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03 Nov 2016 18:01 - 03 Nov 2016 18:25 #1
par Jeb
J'apprends aujourd'hui l'existence d'un Prix de la page 111, je cite : "Prix littéraire récompensant la meilleure page 111 d'un roman écrit en langue française." Sans les dénigrer cyniquement (ou jalousement ?), je n'accorde aux prix littéraires qu'un respect des plus mesurés et je trouve cette petite pique très amusante.
Ce qui me donne l'idée de vous proposer la page 111 de mon roman en cours (Les chasseurs noirs), sans tricherie, telle qu'elle est. N'hésitez pas à partager aussi les vôtres !
EDIT : on passe à la 33, voir plus bas.
Ce qui me donne l'idée de vous proposer la page 111 de mon roman en cours (Les chasseurs noirs), sans tricherie, telle qu'elle est. N'hésitez pas à partager aussi les vôtres !
EDIT : on passe à la 33, voir plus bas.
Dernière édition: 03 Nov 2016 18:25 par Jeb.
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03 Nov 2016 18:05 - 03 Nov 2016 18:05 #2
par Véro-Lyse
bouh.... j'ai pas de page 111 à vous proposer... mes écrits sont toujours trop courts...
Merci pour le partage Jeb !
Merci pour le partage Jeb !
Dernière édition: 03 Nov 2016 18:05 par Véro-Lyse.
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- Jeb
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03 Nov 2016 18:11 #3
par Jeb
Oh, ben, qu'à cela ne tienne. Je trouvais amusant de partager une de nos pages au pif, mais tous la même, sans contexte et sans tricherie, histoire de s'amuser (et d'être intrigué par ce que les collègues proposent). Mais on peut décider d'une autre. La 8 ? La 12 ? La 33 ? Comme vous voulez !
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03 Nov 2016 18:21 #4
par Véro-Lyse
la 12 ? ...
Il se réveilla
C'est puissant, non ?
Va pour la 33 docteur, y'a plus de matière...
Chapitre 5 Retour en pointillés
Lundi fut une journée tristounette. M. Soleil jouait à cache-cache
dans les nuages, et M.Ysgranor fit de même avec Anne qui ne l’avait
pas encore aperçu. Sa patience sembla enfin récompensée vers la fin
d'après-midi. Elle put voir l’enseignant pendant un intercours dans le
hall durant deux bonnes minutes !
— Bonjour ! pépia Anne. Quel mauvais temps aujourd'hui ! Il a
fait nettement meilleur ce week-end.
— Bonjour ! J'avoue ne pas y avoir prêté attention. J’étais seul, je
crée beaucoup artistiquement dans ces circonstances, lui répondit-il.
— Ouah, j'aurais pu en remplir des partitions, je connais aussi la
solitude, avoua-t-elle. Mais pas du tout le solfège ni l'écriture
musicale.
— Anne, jouez-vous au moins d’un instrument ?
— Non, quoique ma mère m’a souvent dit que je jouais bien du
pipeau, ajouta-t-elle.
— Ah ? C’est un appareil typique d'ici ?
— En fait, « jouer du pipeau » est une expression. Il m'arrivait
régulièrement de raconter des histoires à ma mère. Je tenais la
chandelle pour les copines après l’école.
— Vous avez un langage très imagé sur ce territoire. Il me faudra
quelques explications pour l’histoire des chandelles plus tard,
excusez-moi Anne, mais mes élèves vont m’attendre.
Qu’ils patientent ! Mince alors !
— Vraiment dommage de ne pouvoir rester plus longtemps, avoua
Morten avant de s'éclipser.
— C'est justement ce que je pensais ! répondit-elle dans le vide.
Mardi 9 septembre, Anne quitta tard son travail. La photocopieuse
avait encore fait des misères à la dernière minute. Mme Rico avait
appelé pour avoir quelques nouvelles, véritablement curieuse de
savoir comment s’était passée la rentrée avec l’homme du Nord.
Il se réveilla
C'est puissant, non ?
Va pour la 33 docteur, y'a plus de matière...
Chapitre 5 Retour en pointillés
Lundi fut une journée tristounette. M. Soleil jouait à cache-cache
dans les nuages, et M.Ysgranor fit de même avec Anne qui ne l’avait
pas encore aperçu. Sa patience sembla enfin récompensée vers la fin
d'après-midi. Elle put voir l’enseignant pendant un intercours dans le
hall durant deux bonnes minutes !
— Bonjour ! pépia Anne. Quel mauvais temps aujourd'hui ! Il a
fait nettement meilleur ce week-end.
— Bonjour ! J'avoue ne pas y avoir prêté attention. J’étais seul, je
crée beaucoup artistiquement dans ces circonstances, lui répondit-il.
— Ouah, j'aurais pu en remplir des partitions, je connais aussi la
solitude, avoua-t-elle. Mais pas du tout le solfège ni l'écriture
musicale.
— Anne, jouez-vous au moins d’un instrument ?
— Non, quoique ma mère m’a souvent dit que je jouais bien du
pipeau, ajouta-t-elle.
— Ah ? C’est un appareil typique d'ici ?
— En fait, « jouer du pipeau » est une expression. Il m'arrivait
régulièrement de raconter des histoires à ma mère. Je tenais la
chandelle pour les copines après l’école.
— Vous avez un langage très imagé sur ce territoire. Il me faudra
quelques explications pour l’histoire des chandelles plus tard,
excusez-moi Anne, mais mes élèves vont m’attendre.
Qu’ils patientent ! Mince alors !
— Vraiment dommage de ne pouvoir rester plus longtemps, avoua
Morten avant de s'éclipser.
— C'est justement ce que je pensais ! répondit-elle dans le vide.
Mardi 9 septembre, Anne quitta tard son travail. La photocopieuse
avait encore fait des misères à la dernière minute. Mme Rico avait
appelé pour avoir quelques nouvelles, véritablement curieuse de
savoir comment s’était passée la rentrée avec l’homme du Nord.
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03 Nov 2016 18:31 - 03 Nov 2016 18:32 #5
par Jeb
Va pour la 33 ! Merci de jouer le jeu.
Je connais déjà celle que tu nous as postée (j'ai presque terminé le livre). Du coup, je rédigerai bientôt un avis général sur tout le bouquin.
Je supprime donc ma page 111 et je poste ma 33 :
— Qui vous dit que personne n'en veut, lieutenant ? Moi, je suis d'accord avec cette approche. Oui, l'idéal, c'est que la démobilisation se passe en pur milieu civil. Mais il n'y a jamais rien d'idéal sur cette planète, alors je me moque de ce qui embête les officiers ou de ce qui chiffonne les éducateurs, c'est les gosses qui m'intéressent. C'est à cause des gosses que je suis pour. J'en ai vu défiler un paquet, lieutenant. Ils sont tous différents, mais ils sont tous difficiles. Et figurez-vous que la plupart d'entre eux, on ne peut pas les démobiliser rien qu'en leur enlevant leur uniforme et en leur fourguant un tee-shirt. On en a un, en ce moment, au centre médical de transition. Il vient juste d'arriver. Tarek, il a quinze ans. Trois ans dans une milice indépendante, il refuse de nous dire laquelle, même si on a notre idée sur la question. Il a l'air à peu près normal, la plupart du temps, du moins aussi normal qu'on peut l'espérer compte tenu des circonstances. Mais de temps en temps il pique des colères épouvantables, des accès de rage complètement hystériques. Il renverse tout ce qu'il peut, les assiettes sur les tables, les lampes sur les bureaux, tout ce qui est à portée, il balance des dégelées de coups de poing et de coups de pied sur les murs ou les portes. D'habitude, dans ces cas-là, on se contente de maîtriser le gosse, c'est le plus urgent, le reste on voit plus tard. Mai l'autre jour, l'un de nous a eu la bonne idée de lui demander ce qui lui prenait. Il nous a répondu qu'un éducateur lui avait dit de balayer sa chambre, ou de rejoindre les autres pour mettre la table, je ne sais plus, un truc de ce genre.
Malgré lui, Capdevielle commençait à s'intéresser à l'anecdote.
— Et alors ? Il est fainéant?
— Alors il ne supporte pas d'entendre un civil lui donner des ordres. C'est inacceptable, pour lui. Les civils, quels que soient leur âge et leur fonction, ils sont faits pour trembler au bout de son canon. Pas pour lui donner des instructions.
Un court silence : Grevet laissait la révélation s'incruster chez son interlocuteur. Le colonel Crivelli, le fauteuil un peu latéral pour embrasser d'un regard les deux jeunes gens, demeurait impassible.
— Et c'est ce genre de gosse que vous voulez me confier, monsieur Grevet ? Ceux que vous n'arrivez pas à gérer ? C'est bien gentil à vous.
Capdevielle aurait voulu le camoufler, mais son timbre avait un peu perdu en ressentiment, en agressivité. Il basculait insensiblement dans la simple défensive.
— Pour un garçon comme Tarek, on est des civils. Pas vous. Vous, vous êtes soldat.
Je connais déjà celle que tu nous as postée (j'ai presque terminé le livre). Du coup, je rédigerai bientôt un avis général sur tout le bouquin.
Je supprime donc ma page 111 et je poste ma 33 :
— Qui vous dit que personne n'en veut, lieutenant ? Moi, je suis d'accord avec cette approche. Oui, l'idéal, c'est que la démobilisation se passe en pur milieu civil. Mais il n'y a jamais rien d'idéal sur cette planète, alors je me moque de ce qui embête les officiers ou de ce qui chiffonne les éducateurs, c'est les gosses qui m'intéressent. C'est à cause des gosses que je suis pour. J'en ai vu défiler un paquet, lieutenant. Ils sont tous différents, mais ils sont tous difficiles. Et figurez-vous que la plupart d'entre eux, on ne peut pas les démobiliser rien qu'en leur enlevant leur uniforme et en leur fourguant un tee-shirt. On en a un, en ce moment, au centre médical de transition. Il vient juste d'arriver. Tarek, il a quinze ans. Trois ans dans une milice indépendante, il refuse de nous dire laquelle, même si on a notre idée sur la question. Il a l'air à peu près normal, la plupart du temps, du moins aussi normal qu'on peut l'espérer compte tenu des circonstances. Mais de temps en temps il pique des colères épouvantables, des accès de rage complètement hystériques. Il renverse tout ce qu'il peut, les assiettes sur les tables, les lampes sur les bureaux, tout ce qui est à portée, il balance des dégelées de coups de poing et de coups de pied sur les murs ou les portes. D'habitude, dans ces cas-là, on se contente de maîtriser le gosse, c'est le plus urgent, le reste on voit plus tard. Mai l'autre jour, l'un de nous a eu la bonne idée de lui demander ce qui lui prenait. Il nous a répondu qu'un éducateur lui avait dit de balayer sa chambre, ou de rejoindre les autres pour mettre la table, je ne sais plus, un truc de ce genre.
Malgré lui, Capdevielle commençait à s'intéresser à l'anecdote.
— Et alors ? Il est fainéant?
— Alors il ne supporte pas d'entendre un civil lui donner des ordres. C'est inacceptable, pour lui. Les civils, quels que soient leur âge et leur fonction, ils sont faits pour trembler au bout de son canon. Pas pour lui donner des instructions.
Un court silence : Grevet laissait la révélation s'incruster chez son interlocuteur. Le colonel Crivelli, le fauteuil un peu latéral pour embrasser d'un regard les deux jeunes gens, demeurait impassible.
— Et c'est ce genre de gosse que vous voulez me confier, monsieur Grevet ? Ceux que vous n'arrivez pas à gérer ? C'est bien gentil à vous.
Capdevielle aurait voulu le camoufler, mais son timbre avait un peu perdu en ressentiment, en agressivité. Il basculait insensiblement dans la simple défensive.
— Pour un garçon comme Tarek, on est des civils. Pas vous. Vous, vous êtes soldat.
Dernière édition: 03 Nov 2016 18:32 par Jeb.
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- Véro-Lyse
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03 Nov 2016 18:47 #6
par Véro-Lyse
J'accroche bien à cet extrait
De mon côté j'ai fini Faon. Mais je compte le relire avant de donner mon avis ( j'avais trop la tête en vrac et du coup je l'ai lu en pointillés... )
De mon côté j'ai fini Faon. Mais je compte le relire avant de donner mon avis ( j'avais trop la tête en vrac et du coup je l'ai lu en pointillés... )
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- Jeb
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- Catherine Robert
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03 Nov 2016 19:23 #8
par Catherine Robert
Réponse de Catherine Robert sur le sujet Page 111
Je vais tricher un poil. Comme je n'ai pas le courage de tout recopier la page 33 de mon roman, je chipe en copier-coller la page 33 de mon fichier (et elle n'équivaudra sûrement pas à la page 33 du roman). Mais l'avantage, c'est que la page 33 de mon fichier est beaucoup plus longue que la page 33 de mon roman.
C'est pas le passage le plus gore/dégueu, mais c'est quand même violent.
Elle arrache la chair, qu'elle crache sur le sol, masse rougeâtre et visqueuse couverte de bave, avant de replonger dans la plaie pour continuer à creuser un trou de plus en plus profond.
Sous la douleur, l'autre tente en vain de se dégager, secouant la tête en tous sens, mais les crocs sont solidement plantés, les mâchoires serrées comme les pointes d'un piège à loup. Impossible de les ôter de son cou. Alors, elle entame une série de coups dans l'abdomen, mais sa rivale résiste, finit par atteindre l'endroit le plus vulnérable, ses incisives touchent la trachée artère dans laquelle elle croque sans hésitation. Le sang éjecté à gros bouillons lui explose dans la bouche et elle le rejette en toussant. Brunette porte les mains à sa blessure, ses yeux se voilent, elle regarde ses compagnes autour d'elle, muettes maintenant, et ses traits expriment l'incompréhension. Elle titube quelques secondes avant de s'écrouler, ses membres tremblent en mouvements saccadés, un gargouillis parvient encore à franchir ses lèvres, puis tout s'arrête.
La meurtrière est tombée sur les fesses. Elle semble ne pas assimiler les derniers instants, puis finit par rire en gueulant : "c'est de sa faute à elle, pas la mienne ! C'est de sa faute !".
Personne n'y fait attention, les regards restent fixés sur le cadavre, comme éberlués. Celles qui appelaient à la mort peu avant paraissent revenir sur terre. Toutes finissent par baisser la tête, puis s'éloigner. Le silence est total. A quoi bon parler ? Que pourraient-elles bien dire ?
Greta, dès la fin du combat est retournée s'asseoir dans son espace habituel. La bagarre, les cris, le sang, l'issue fatale, tout ça est déjà derrière elle. Elle songe juste que nulle part, elle n'est à l'abri. On fait d'eux des bêtes sauvages, prêtes à tuer et elle ne doit faire confiance à personne. Elle-même se sait prête à passer à l'acte si besoin. Sans besoin aussi, juste par vengeance ou par envie. Ça ne la perturbe pas.
"Regroupez-vous !"
Docilité, obéissance, soumission. Réflexe installé par les traitements infligés. Greta y pense souvent. Jusqu'à quel point cet automatisme est-il ancré en eux, en elle ? Malgré elle, une impulsion primale la pousse à obtempérer aux demandes, cela même alors que sa part objective voudrait refuser. Comment inverser le mécanisme ? Peut-elle faire marche arrière à force de volonté ?
"Suivez les gardes !"
C'est pas le passage le plus gore/dégueu, mais c'est quand même violent.
Elle arrache la chair, qu'elle crache sur le sol, masse rougeâtre et visqueuse couverte de bave, avant de replonger dans la plaie pour continuer à creuser un trou de plus en plus profond.
Sous la douleur, l'autre tente en vain de se dégager, secouant la tête en tous sens, mais les crocs sont solidement plantés, les mâchoires serrées comme les pointes d'un piège à loup. Impossible de les ôter de son cou. Alors, elle entame une série de coups dans l'abdomen, mais sa rivale résiste, finit par atteindre l'endroit le plus vulnérable, ses incisives touchent la trachée artère dans laquelle elle croque sans hésitation. Le sang éjecté à gros bouillons lui explose dans la bouche et elle le rejette en toussant. Brunette porte les mains à sa blessure, ses yeux se voilent, elle regarde ses compagnes autour d'elle, muettes maintenant, et ses traits expriment l'incompréhension. Elle titube quelques secondes avant de s'écrouler, ses membres tremblent en mouvements saccadés, un gargouillis parvient encore à franchir ses lèvres, puis tout s'arrête.
La meurtrière est tombée sur les fesses. Elle semble ne pas assimiler les derniers instants, puis finit par rire en gueulant : "c'est de sa faute à elle, pas la mienne ! C'est de sa faute !".
Personne n'y fait attention, les regards restent fixés sur le cadavre, comme éberlués. Celles qui appelaient à la mort peu avant paraissent revenir sur terre. Toutes finissent par baisser la tête, puis s'éloigner. Le silence est total. A quoi bon parler ? Que pourraient-elles bien dire ?
Greta, dès la fin du combat est retournée s'asseoir dans son espace habituel. La bagarre, les cris, le sang, l'issue fatale, tout ça est déjà derrière elle. Elle songe juste que nulle part, elle n'est à l'abri. On fait d'eux des bêtes sauvages, prêtes à tuer et elle ne doit faire confiance à personne. Elle-même se sait prête à passer à l'acte si besoin. Sans besoin aussi, juste par vengeance ou par envie. Ça ne la perturbe pas.
*****
"Regroupez-vous !"
Docilité, obéissance, soumission. Réflexe installé par les traitements infligés. Greta y pense souvent. Jusqu'à quel point cet automatisme est-il ancré en eux, en elle ? Malgré elle, une impulsion primale la pousse à obtempérer aux demandes, cela même alors que sa part objective voudrait refuser. Comment inverser le mécanisme ? Peut-elle faire marche arrière à force de volonté ?
"Suivez les gardes !"
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- Véro-Lyse
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03 Nov 2016 19:36 #9
par Véro-Lyse
Violent,oui, mais c'est intéressant aussi comme passage. Greta c'est le titre du roman donc et le nom de ton personnage principal alors ?
C'est sympa cette idée quand même, on peut tisser tout un scénario hypothétique autour des extraits.
C'est sympa cette idée quand même, on peut tisser tout un scénario hypothétique autour des extraits.
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- Catherine Robert
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03 Nov 2016 19:49 #10
par Catherine Robert
Réponse de Catherine Robert sur le sujet Page 111
Oui Greta est le titre de mon roman et le nom de mon personnage principal.
J'aime bien aussi cette idée. J'ai lu vos extraits à tous les deux, très différents l'un de l'autre. On peut s'imaginer ce qui se passe avant, ce qui se passe après. Celui de Véro-Lyse est plus primesautier, plus léger, on voit bien le morceau s'encastrer dans un récit de fantasy ou de merveilleux. Celui de Jeb est plus réaliste, avec derrière une certaine violence, et un côté actuel.
J'aime bien aussi cette idée. J'ai lu vos extraits à tous les deux, très différents l'un de l'autre. On peut s'imaginer ce qui se passe avant, ce qui se passe après. Celui de Véro-Lyse est plus primesautier, plus léger, on voit bien le morceau s'encastrer dans un récit de fantasy ou de merveilleux. Celui de Jeb est plus réaliste, avec derrière une certaine violence, et un côté actuel.
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