Jeb

C'est vrai que ça fait toujours du bien de discuter avec les copains !

Je suis assez d'accord. Pour ma part aussi parler de mes projets et travaux en cours d'écriture me permets de voir un peu mieux ou je vais

Je pense aussi que travailler sur d'autres choses, mettre en pratique tes connaissances sur l'écriture, mais sans forcément écrire; discuter, papoter, créer, ça peut te faire du bien !

J'ai consulté le travail d'Efflam Mercier et j'adore ce qu'il fait, il y a vraiment de beaux morceaux d'illus. J'aurais adoré bosser avec lui

Jeb wrote: Je suis dans une phase que j'aime bien, en ce moment. Comme je suis rigoureusement incapable d'écrire quoi que ce soit (et c'est de plus en plus dur de mois en mois depuis deux ans maintenant, au point que je me demande si je terminerai un jour de nouveau une nouvelle*), je prends des tas de petites notes bien propres et bien rangées sur des carnets, pour préparer des romans dont je sais pertinemment que je ne les écrirai jamais. C'est ce que je préfère dans l'écriture.

* Oui, sauf bien sûr mon roman de Haute Littérature, mais ce n'était pas de l'écriture, c'était un jeu de rôle grandeur nature.

Sinon si veux écrire des nouvelles voici quelques thèmes bien sympathiques.
www.lemonde.fr/campus/article/2019/06/17...5477204_4401467.html

Jeb wrote: Dans la version française du bouquin d'Ellis, on apprend aussi que Coppola a réalisé un film intitulé La Parrain. Oui, "la" Parrain. Page 238.

Le travail éditorial est lamentable. Robert Laffont, mesdames et messieurs.

Décidément, toujours chez Robert Laffont, dans la collection Bouquins, je lis Le bûcher des vanités de Tom Wolfe, qui vient de sortir (avec une préface aussi creuse que ronflante). Là aussi, on a des coquilles à toutes les pages, des "y'a" à la place de "y a", mais aussi des "liberal" traduits par "libéral" et même des "isolation" traduits par "isolation", alors qu'il s'agit d'être seul, pas de refaire la toiture. Qu'est-ce qui se passe chez Robert Laffont ? Il n'y a plus que des stagiaires de troisième ?

Jeb wrote:

Jeb wrote: Dans la version française du bouquin d'Ellis, on apprend aussi que Coppola a réalisé un film intitulé La Parrain. Oui, "la" Parrain. Page 238.

Le travail éditorial est lamentable. Robert Laffont, mesdames et messieurs.

Décidément, toujours chez Robert Laffont, dans la collection Bouquins, je lis Le bûcher des vanités de Tom Wolfe, qui vient de sortir (avec une préface aussi creuse que ronflante). Là aussi, on a des coquilles à toutes les pages, des "y'a" à la place de "y a", mais aussi des "liberal" traduits par "libéral" et même des "isolation" traduits par "isolation", alors qu'il s'agit d'être seul, pas de refaire la toiture. Qu'est-ce qui se passe chez Robert Laffont ? Il n'y a plus que des stagiaires de troisième ?

Surtout je pense qu'ils recrutent des profils école de commerce.

Pour le libéral ça me fait penser à ces journalistes qui reportaient que Bush trouvaient la constitution américaine trop libérale. Et de s'étonner que Bush soit d'accord avec les gauchistes européens. Alors qu'il la trouvait trop progressiste.

Et oui, avec des contresens de ce genre, plus rien n'a de signification...

Encore un excellent dimanche à ne rien pouvoir faire, migraine féroce oblige. Décidément, ce n'est pas cette année que je vais écrire un riche roman expérimental... ni même rattraper mon retard de lecture.

Ça devient lourdement handicapant, cette histoire. J'irais bien consulter, mais que ceux qui croient que les toubibs peuvent aider lèvent la main...

Ben tu devrais peut-être y aller quand même, ne fut-ce que pour t’assurer qu’un IRM n’est pas nécessaire. Il ne faudrait pas qu’il y ait un anévrisme et que tu le laisses grossir démesurément.

Oui, je vais m'y résoudre. Cet été, pas possible, on va être ligoté au bureau, mais en septembre.