Jeb

Merci ! En fait, travaillant comme traducteur de jeux vidéo, j'ai l'habitude de compter en mots, donc pour moi la barre symbolique naturelle c'est plutôt 100 000 mots. Mais j'ai constaté que dans l'édition on parle plutôt en signes, alors j'essaie de m'adapter ! Cela dit, 500 000 signes (espaces compris), ça fait environ 85 000 mots, donc on reste dans les mêmes plots.

Merci de t'intéresser à cette histoire. La résumer, ça ne va pas être facile, c'est une intrigue à quatre bandes qui est assez compliquée (j'espère ne pas m'être lancé dans trop ambitieux pour moi...). Mais j'ai une petite idée pour présenter ce machin quand même... Je vais y réfléchir une petite heure, et je regarde si c'est faisable. Ce que je peux dire déjà, c'est que c'est de l'anticipation, la SF c'est vraiment là où je me plais le mieux.

Merci en tout cas !

Je crois que dans l'édition on parle plus facilement de signes, car ça permet d'anticiper le nombre de pages d'un ouvrage papier. Le nombre de signes ne variant pas, si on a déjà une page type en tête. Alors que les mots sont plus changeants quant à leur taille.

J'avais bien l'impression que la SF était ton domaine de préférence. J'ai hâte que tu mettes ton résumé, je suis curieux de voir ce que tu prépares. Et j'ai aussi sur ma liseuse "Terre Zéro" que je veux lire dès que j'ai du temps devant moi.

Ah oui ! La bonne vieille SF ! Ça ne signifie pas que je méprise le fantastique ou la fantasy, j'en lis aussi, mais avec moins de passion. Du reste, des passerelles sont possibles bien sûr. La Horde du Contrevent, de Damasio : fantasy, SF, contes et légendes ? Peu importe au bout du compte...

Je réfléchis à un résumé qui soit bref, révélateur mais sans trop en dire, c'est très difficile et un excellent exercice. J'arriverai bien à quelque chose quand mes petites cellules grises auront assez turbiné !

Merci pour Terre Zéro ! J'espère que tu ne le regretteras pas...

Après avoir réfléchi un moment, je me rends à l'évidence que je n'arriverai pas à résumer cette histoire d'une façon simple, intéressante et sans en dévoiler trop.

Du coup, l'idée m'est venue... Est-ce que c'est problématique si je poste ici la nouvelle par laquelle j'ai commencé à réfléchir à cette idée ? Certes, le roman développe cet embryon initial dans des proportions gargantuesques et y ajoute une myriade d'autres thématiques, mais il me semble que l'atmosphère générale y est déjà. À défaut d'un résumé, ce serait... une sorte de "teaser" !

Merci beaucoup pour la nouvelle, Jeb !
C'est encore mieux que le résumé, d'une certaine façon. Je m'empresse de la lire !

Je comprends que ça soit compliqué de faire un résumé, c'est un exercice que j'aime déjà pas tellement sur un texte terminé, alors en cours d'écriture

Oui, hein, pas facile ? Je suis vraiment nul en résumés !

Merci pour la nouvelle ! Tu verras qu'il y a une petite similitude d'esprit avec Alex. Un de mes amis me dit que j'écris toujours la même histoire. À quoi je réponds : "Non, je n'écris pas toujours la même histoire ! Je bâtis une oeuvre cohérente..."

Hello !

Je confirme qu'on parle plus facilement en signes espaces comprises, mais une conversion qui tient à peu près la route est un mot = 6 sec !
500.000, c'est un cap symbolique en effet ! Félicitations !!

Merci ! Ce qui m'inquiète dans tout ça, parce que je ne suis pas du tout sûr que ce soit un signe positif, c'est l'accroissement un peu délirant du nombre de pages d'une histoire sur l'autre. J'ai un bon vieux post-apo (dont je ne sais pas trop si j'aimerais le voir publié), qui plafonnait majestueusement à 500 000 caractères. Terre Zéro, c'était 850 000 signes (avant que l'éditeur ne m'incite poliment à le faire passer sur le billard pour l'amputer de 90 000 signes). Et là, je vois très mal comment arrêter avant le million huit cent mille.

Je commence à me demander si je ne suis pas... disons, un peu bavard...

A mon sens, c'est un signe plutôt positif : tu te sens à l'aise dans l'univers que tu utilises et tu veux que tes protagonistes et lecteurs y restent plus longtemps !!

Reste à espérer que les lecteurs, eux, voudront rester !