Né sur les hauteurs de Rouen, Les Livres dont vous êtes le héros puis les jeux de rôles baignent son enfance puis son adolescence et l’initient au fantastique. Grégory découvre H.P. Lovecraft, Graham Masterton, bien évidemment Stephen King, et écrit ses propres scénarios jusqu’à l’entrée à la Fac (de Psychologie). Devant la difficulté de se retrouver entre amis, et l’envie de continuer à créer des univers, il conçoit ses premières nouvelles. En 2003, il envoie un texte à la revue Science-fiction magazine et est publié (En regardant passer le train, dans le numéro 38). Puis il s’essaie aux concours et autres appels à textes jusqu’à figurer auprès de Graham Masterton (Borderline 3). Avec l’essor d’Internet (mais comment faisait-on avant ?) et les éditeurs qui voient le jour, il devient plus facile d’envoyer des histoires, et il est ainsi publié chez Mots et Légendes, Géante Rouge, Gandahar, Sombres Rets, Outremondes, Otherlands, Arkuiris ou encore Nutty Sheep.
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Cette interview de Grégory Covin a été réalisée dans le cadre de la parution de sa nouvelle 00011001 dans le webzine Mots & Légendes 9.
Pourrais-tu te présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
Je m'appelle Grégory Covin. Je vais avoir 40 ans cette année, et vis à Rouen. Je suis fan de comics et de lectures fantastiques (Héroïc Fantasy, SF, horreur) même si, à présent, j'en lis beaucoup moins qu'avant.
Comment t'est venu le goût de l'écriture, à quel âge ?
Les jeux de Rôles m'ont donné le goût de l'écriture. Gamin, je jouais aux Livres dont vous êtes le héros, et un ami m'a un jour initié à Warhammer. À l'époque, je lisais surtout des récits de terreur et me suis ainsi porté sur L'Appel de Cthulhu, de l'univers de Lovecraft, pour également réaliser des scénarios. J'ai bien entendu essayé Dongeons and Dragons, mais aussi Vampires the Masquerade ou encore Torg. Vers 18 ans, cela a commencé à devenir compliqué de se réunir entre copains, avec les études, nos vies qui changeaient, et j'ai rapidement compris que la grande époque "Jeu de Rôles" était révolue. Mais je n'avais pas pour autant envie d'arrêter d'en écrire. Je me suis donc reporté sur l'écriture, après avoir dompté le pianotage sur le clavier :)
Puis Internet m'a donné l'occasion de participer à des concours de nouvelles, de réussir le premier auquel j'ai participé (ce qui m'a donné confiance en moi, parce que je ne savais pas du tout ce que je valais), et l'envie de continuer.
Comment abordes-tu la création d'un texte ? Comment te vient l'inspiration ?
Il y a une première partie qui est de la réflexion paresseuse. C'est-à-dire que j'ai des bribes d'idées que je laisse germer. C'est comme un jardin potager ; j'attends que ça pousse, je vérifie que ça ne parte pas chez le voisin (bref, qu'une idée ne soit pas hors sujet), puis je récolte. J'ai alors mon début d'histoire et une idée directrice qui me donnent envie de m'y mettre.
Puis c'est la seconde partie. La magie. Je me laisse porter par l'histoire, tout en lui tenant la bride. Je deviens mon premier lecteur à surprendre. Je me pose des pièges desquels je dois ressortir, tant pis si je ne sais pas comment. Souvent, je repousse les premières idées qui me viennent pour en trouver d'autres. Plus folles, et donc plus originales. Les plus étonnantes éclosent pendant que j'écris ; elles surgissent de nulle part. C'est indéniablement comme si je pêchais des idées et que, parfois, l'une d'elles, totalement différente de celles que j'ai habituellement, mordait à l'hameçon. J'aime beaucoup cette sensation.
Peux-tu nous parler du processus d'écriture de la nouvelle 00011001 ? Ce qu'elle représente pour toi ?
J'ai constaté que mes récits suivaient tous un fil directeur, une interrogation qui dure plusieurs années. Avant de passer à autre chose. Une sorte de Rubik's cube intellectuel que je tourne dans tous les sens et qui présente différentes couleurs mais un problème similaire. 2013 et 2014 auront été des années de remises en question de la réalité ; de la place de l'Homme dans l'univers et de son grade dans celui-ci. Je me suis amusé à le placer dans des situations similaires et de trouver des causes et conséquences différentes à chaque fois.
Bien entendu, je m'intéresse à l'espace, sans pour autant dévorer des bouquins qui en parlent. Je suis plutôt du genre à suivre des documentaires à la télé. Je constate souvent que ce que l'on croit comme acquis ne sont que des hypothèses scientifiques. 00011001 est d'abord un questionnement sur ce qu'est un trou noir. On sait qu'il aspire tout ce qui lui passe autour, ainsi que le temps. Le Big Bang n'est d'ailleurs rien d'autre que ce moment où l'horloge se déclenche et que le temps a une signification. Ce qui entraine ce processus de début et de fin, de naissance et de mort. Mais que se passe-t-il à l'intérieur d'un trou noir ? Que se passe-t-il si une chose, aspirée par celui-ci, n'était alors pas détruite par la puissance du trou noir ? Est-ce là une faille vers l'éternité puisque le temps lui-même en est prisonnier ?
00011001 est également l'envie d'écrire une nouvelle qui se termine bien. J'ai tendance à confronter mes personnages à des forces qui les dépassent ; ils survivent rarement. La question était donc : comment vaincre un trou noir ? Comment ressortir de son aspiration dont rien, même le temps, ne peut s'en échapper ? La réponse ne m'est pas venue tout de suite :)
Quel est ton endroit favori pour écrire ? As-tu des rituels ?
J'écris dans ma salle à manger, sur un petit bureau placé contre le mur. Du moment qu'il n'y a pas de bruit, je peux écrire n'importe où. Je suis par contre désormais incapable d'écrire autrement que sur un clavier. La feuille papier me bloque, m'agace, tant je peine à me relire :)
As-tu un texte dont tu es particulièrement fier et que tu voudrais nous faire découvrir ?
Je n'ai pas participé qu'à des concours de nouvelles. J'ai également envoyé des textes à des sites qui les diffusaient librement. Numéro 81 est un texte court qui me touche à chaque fois que je le relis.
Quels sont tes auteurs favoris ? Influencent-ils tes écrits ?
Le premier auteur qui m'a énormément influencé est H.P. Lovecraft. Pas forcément de par son style, mais sa vision éclatée d'un univers peuplé d'entités innommables m'a marqué. À vie. Cette terreur sourde de choses qui rêvent, qui s'activent dans les ténèbres, est présente à chaque fois qu'un récit d'horreur m'appelle. Il y a également Graham Masterton qui est l'un de mes auteurs favoris et qui m'a énormément influencé. J'ai eu la chance d'être publié à ses côtés dans le fanzine Borderline, et ai toujours aimé son aptitude à mettre au goût du jour les terreurs d'autrefois. Manitou, Démences, Rituel de Chair sont des perles de la littérature de terreur. À lire également : Le Mystère du Lac de Robert McCammon.
Quels sont tes projets ?
2014 aura été pour moi une année très calme puisque tous les concours que j'ai réussis ont été décalés de quelques mois pour paraître en 2015. J'aurai 5 textes dans les semaines et mois qui viennent qui vont ainsi voir le jour. Donc un peu de travail de relecture en perspective.
Fin décembre, j'ai terminé un texte qu'il me reste à retravailler, puis je vais sans doute m'atteler à un concours érotique. Peut-être pour marcher dans les pas de Graham Masterton qui a écrit pour Penthouse. Et puis cela va changer un peu :)
Pour conclure, as-tu un dernier mot à ajouter ?
J'ai toujours un grand plaisir à faire partie du Royaume, de voir l'un de mes récits prendre vie dans les pages de son anthologie numérique qui est l'une des plus soignées que je connaisse. J'espère ainsi répondre présent pour les prochains projets que l'avenir nous réserve.
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Pourrais-tu te présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
Je m’appelle Grégory Covin, j’ai 37 ans et vis à Rouen. J’écris des nouvelles depuis l’âge de 18 ans, envie qui m’est venue quand j’ai cessé de mettre au point des scénarii de jeux de rôles avec mes amis (L’appel de Cthulhu, Dongeons and Dragons, etc.) parce qu’il devenait alors difficile de se réunir. Plus jeune, je lisais des Livres dont vous êtes le héros, ce qui m’a initié d’une certaine façon à la construction et aux possibilités qui entourent un récit. C’est bien entendu grâce à Internet que j’ai décidé de m’essayer à des concours de nouvelles. Ma première publication date de 2003, dans Science-fiction Magazine, avec le texte En regardant passer le train. L’histoire d’un homme qui voit une vache à la fenêtre du deuxième étage de son appartement (rire gêné ).
Je tente tout autant d’être publié sur des supports papiers et virtuels, ces derniers permettant presque toujours d’avoir un retour des lecteurs. Ils sont aussi généralement plus nombreux. Je n’écris que du fantastique, quel que soit le genre. Je suis incapable de mettre en scène un polar classique par exemple. J’ai imaginé un texte affilié à Conan qui a été publié dans une anthologie chez Eons, mais j’aime aussi passer dans le registre de la science-fiction ou du fantastique contemporain. Même si mon domaine de prédilection, en lien à mes premières lectures, est celui de la terreur/horreur.
Comment abordes-tu la création d’un texte ? Comment te vient l’inspiration ?
L’inspiration me vient très vite, sans raison particulière. J’ai presqu’aussitôt des images fortes des scènes principales du récit, un peu comme la bande-annonce d’un film. Le vrai travail consiste plutôt à se détacher de ces premières idées pour construire un récit plus original qui étonnera le lecteur. À partir de ce moment, l’inspiration est une suite de portes entr’ouvertes derrière lesquelles je ne sais pas où je vais ou ce que je vais trouver. Je cherche toujours à me surprendre comme je cherche à surprendre le lecteur. Rien ne doit couler de source, ou être évident, pour le lecteur comme pour moi. D’où une prise de risques qui se renouvelle régulièrement. Et qui est excitante.
Quel est ton endroit favori pour écrire ? As-tu des rituels ?
J’écris dans la salle à manger, sur un petit bureau informatique. J’ai juste rajouté un clavier classique à mon pc portable, parce que je suis incapable d’écrire sur un clavier étroit.
As-tu un texte dont tu es particulièrement fier ?
Il y a des textes plus originaux que d’autres, mais tous m’ont procuré du plaisir et m’ont fait progresser. Je suis surtout fier quand un lecteur me dit avoir aimé mon récit. C’est plus par les yeux des autres que la magie fonctionne, dans ces moments-là. Après, il est vrai qu’on n’oublie jamais son premier texte publié, ni son premier roman. Je dirais juste que j’aurais bien du mal aujourd’hui à rejeter un œil à mes premiers écrits, mais je n’en suis pas moins fier.
Quels sont tes auteurs favoris ? Influencent-ils tes écrits ?
Gamin, je lisais H. P. Lovecraft, mais j’ai vraiment été fan de Graham Masterton (j’ai eu l’honneur d’être publié avec lui dans le numéro 3 de Borderline). J’ai bien entendu lu la majeure partie des livres de Stephen King (encore une fois, je suis principalement un lecteur de terreur, je m’intéresse finalement assez peu au reste de la publication fantastique). J’ai beaucoup aimé les Hawkmoon de Moorcock tout comme son Elric, et ai dévoré la Bellegariade et la Mallorée de David Eddings (que je préfère d’ailleurs au Seigneur des Anneaux).
Aujourd’hui, mes lectures sont plus disparates, et je suis devenu difficile. J’ai parfois bien du mal à aimer ce que je lis. Sans doute parce que je pense que les auteurs ne prennent pas assez de risques et que les livres ont tendance à tous raconter la même chose.
Quels sont tes projets ?
J’attends actuellement des réponses d’éditeurs sur un roman d’Heroïc fantasy, tout en corrigeant le second tome que je viens de terminer. Comme partout, les places sont chères. Mais qui ne tente rien n’a rien, pas vrai ?
Pour conclure, qu’as-tu envie de nous dire ?
J’espère que les lecteurs apprécieront cette petite histoire de terreur. J’ai pris beaucoup de plaisir à l’écrire, à sentir ses personnages s’enfoncer dans les eaux noires du récit. Et j’espère être encore présent pour un prochain webzine en provenance du Royaume.
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Bon alors, si tu nous parlais un peu de toi ?
Je m’appelle Grégory Covin, j’ai 37 ans et écris depuis grosso modo l’âge de 12 ans. J’ai commencé à apprécier le fantastique via les Livres dont vous êtes le héros. J’adorais plus particulièrement la Voie du Tigre, aventures lors desquelles on tenait le rôle d’un ninja (j’avais moi-même un shuriken et un livre sur le Ninjutsu, pour comprendre l’art de ces assassins de l’ombre). Mais les lectures qui m’ont vraiment influencé sont celles de Lovecraft, bien que j’aie surtout apprécié celles de ses fils spirituels comme Brian Lumley. Puis, en dehors de Stephen King qui est un passage obligé, je suis passé à Graham Masterton. Lui-même influencé par Lovecraft (Manitou). La grosse claque. C’est devenu mon maître spirituel. J’ai eu la chance d’être publié à ses côtés dans Borderline 3.
Et tu as commencé à écrire des récits fantastiques dès 12 ans ?
En fait, j’ai commencé à écrire des scénarios de jeux de rôles. L’Appel de Cthulhu bien sûr, mais du Dongeons and Dragons, Vampire la Mascarade, etc. Cela a été un bon moyen de comprendre les mécanismes qui font avancer l’histoire, qui intriguent et stressent le lecteur, qui donnent donc envie de tourner la page, puisqu’il fallait que mes joueurs soient constamment dans l’action. Mais c’est arrivé à 18 ans, au moment d’aller à la Fac, que j’ai entamé l’écriture de nouvelles. La période « jeu de rôles » s’étant terminée, parce qu’il devenait difficile de se voir entre amis pendant plusieurs heures pour jouer, il a donc fallu que je trouve un autre moyen de conter les idées que j’avais en tête. Une fois dompté le clavier pour ne pas mettre deux minutes pour trouver les touches, le plaisir a été immédiat.
Tu t’es donc spécialisé dans le genre « terreur, horreur » ?
Oui, au début. Pour en avoir beaucoup lu, je connaissais les codes, donc trouver l’idée n’était pas forcément difficile. Je pouvais donc chercher mon style, la façon d’articuler le tout. De bien raconter la chose. Dur de marier les deux au début. Une bonne idée mal racontée, ou une belle plume déployant une idée banale, c’est dommage. Je me suis donc efforcé de m’améliorer, ce que je fais toujours, un texte après l’autre. Mais avec les années, une forme de lassitude commence à naître, j’ai donc expérimenté d’autres genres. Écrire permet aussi de se poser plus finement des questions d’ordre personnel. J’ai écris sur la religion, la vie après la mort, l’existence de Dieu. Le fait de devoir mettre des mots sur la moindre idée oblige à réfléchir jusqu’au bout à chaque concept. Et me pousse donc vers une vraie réflexion. Après cela, j’ai écrit un peu de science-fiction. C’est de cette manière que j’ai eu mon premier texte publié dans une revue (Science-fiction Magazine 38 – En regardant passer le train). Depuis quelques années, j’écris principalement des nouvelles ou des romans d’Heroic Fantasy. L’une d’elles a été publiée dans une anthologie chez Eons (Les Mangeurs des sables in Les enfants de Conan). Le tout espacé de courts récits en lien à des concours de nouvelles.
Comment te viennent les idées ?
Quand je réponds à un appel à textes, j’obéis à la demande. Je pars d’une base solide, soit des fondations simples, voire banales. Puis j’essaie de partir vers quelque chose qui ne viendra pas à l’esprit du lecteur. L’originalité ne vient donc jamais de la base, mais du sommet. Quand j’écris pour moi par contre, j’expérimente, je ne me donne pas de limite. Dans tous les cas, j’essaie de me faire plaisir, d’écrire quelque chose que je n’ai jamais lu. J’ai toujours une sorte de crainte qu’à un moment donné, les idées ne viennent plus. Que la source se tarisse. Je crois que c’est la crainte de toute personne qui écrit. Mais les idées viennent généralement de défis que je me donne. Suis-je capable d’émouvoir le lecteur, voire de lui tirer une larme ? Quand vous écrivez principalement des récits de terreur, c’est un réel défi que celui-là. C’est ainsi qu’est né par exemple Numéro 81. Je tente aussi des choses nouvelles, quand j’en ai l’occasion, au fil des rencontres. J’ai ainsi scénarisé le comics français Génération Héroes aux éditions Carnaval.
Tu es donc toujours très occupé. Et en-dehors de l’écriture ?
Je suis fan de comics. J’en lis depuis que je suis gosse. Je rédige d’ailleurs des chroniques sur le site Xbee.net. Et je regarde des séries TV. Un vrai geek quoi !
Quelques mots pour finir ?
J’ai hâte que sortent les futurs webzines de Mots et Légendes, hâte de savoir ce que les lecteurs vont penser des différents textes. Pour avoir déjà pu accéder à la maquette, je sais déjà que, comme d’habitude, la mise en page et les illustrations sont superbes. C’est un véritable plaisir de faire partie de cette aventure. J’espère donc être encore présent dans les publications qui vont suivre.
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Au début de son adolescence, Grégory Covin découvre Lovecraft, Moorcock, Graham Masterton et Stephen King, sans compter les Livres dont vous êtes le héros. S’il ne sait pas encore, à cette époque, qu’il sera publié avec Masterton (Borderline n°3), son imagination grandit via les jeux de rôles et plus principalement Warhammer et l’Appel de Cthulhu (puis viendra Donjons et Dragons).
C’est vers 18 ans qu’il s’essaie à l’écriture, parce que se réunir entre amis autour d’une table et quelques dés devient difficile. Tout y passe, du moment qu’il s’agit de fantastique. Il se fait ainsi la main, et c’est finalement grâce à l’essor d’Internet qu’il enverra une première nouvelle, fin 2003, pour tenter de se faire publier. Il s’agit d’En regardant passer le train (Science-Fiction Magazine 38) et cette première réussite le motive à chercher des concours de nouvelles et autres appels à textes. Il est ainsi publié au Lecteur du Val, dans le Paris Normandie de sa région (Prix Flaubert), dans le fanzine Géante Rouge, OutreMonde, ou encore est contacté par une jeune maison d’édition (Roman Perso) pour y publier un roman (Les enfants de la nuit).
Dernièrement, c’est principalement aux éditions Eons via des anthologies sur Conan le Barbare (Les Mangeurs des sables, et bientôt trois autres textes) et au Royaume des Mots Rêveurs (Dans les Ténèbres) qu’il s’est fait publier.
Actuellement, Grégory Covin écrit un roman ultra violent d’Heroïc Fantasy avec lequel il tentera sa chance chez les grands éditeurs.
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