Bilan/évolution des corrections anthologie "Chevalier errant/Chevalier noir"

Tu fais une préface sur les moquettes ?

Oui, les lance-moquettes ! Ah non, je me trompe encore, c'est les lance-roquettes. Quelle salade !

Je vais en commander quelques bouteilles, avec tous les bouclages que j'ai en route, ça pourra toujours m'aider !

Petite mise à jour du bilan :
Le bourreau vagabond : corrections terminées

Bientôt les premiers test de couverture, j'ai hâte

J'ai hâte aussi de m'arracher les cheveux sur ça !

Petite mise à jour "Code chevaliers : V3 en attente de relecture par Mots & Légendes"

Petite mise à jour du bilan : Code chevaliers : V3 en cours de relecture par Mots & Légendes !

Et voici l'ordre d'apparition des textes, cela peut être encore sujet à changement, mais cela semble bien parti pour qu'on garde cette version du sommaire :

Des anges et des hommes de Carl Ansen
À feu et à aubes de Kevin Kiffer
Vivre par l'épée de Franck Stevens
Humanités de Guillaume Sibold
La toile et l'épée de Florence Barrier
Le roi des vermines de Brice Gouguet
En attendant l'Orque d'Ambre Melifol
Le bourreau vagabond d'Émilie Milon
Dragon et trahison d'Anthony Boulanger
Code chevalier de J.A. Reeves
Lame éternelle de Laurence Vigne
Le chant du cygne de Mélaine Legrand
SinOjos de Stéphane Lavenère
Voyage avec Auryne de Kaliom Geefker
Retour à Perpétuel-Automne d'Olivier Boile

Une belle brochette, on va se régaler. J'ai hâte aussi de découvrir la couverture. Qui s'en occupe ? (Je n'ai pas souvenir d'avoir lu un post à ce sujet)

Une question me vient (que je m'étais déjà posé à l'époque de Malédiction et je en sais plus si je l'ai posée à l'époque), qu'est ce qui fait qu'un texte se trouve avant les autres ? Est ce que c'est pour mettre en avant les différents styles ?

C'est un ensemble très complexe de critères : taille du texte, tonalité générale, contraste d'une nouvelle sur l'autre, mélange des genres (pas toute la SF au même endroit, pas deux épées enchantées à la suite, etc.), le tout en tenant compte du rythme du livre pris dans son ensemble. Et il y a une part de subjectivité que nous assumons : je voulais vraiment que le volume se termine par la dernière phrase de la nouvelle d'Olivier, par exemple, et Kal a été assez gentil pour accepter : d'autres auraient fait un choix différent. Je crois que la notion de contraste est importante : il me semble que juxtaposer une rêverie de Debussy et une impro free jazz de Coltrane fait ressortir, par opposition, la beauté spécifique de chaque morceau.