Présentation de l'éditeur :
Ils sont peu nombreux, mais ils sont partout : les Prédateurs.
Ils chassent la nuit, en meute, à la recherche de chair humaine. Le jeune Erwan est cependant une anomalie dans une de ces familles. Il est simplement ... humain.
En opposition avec ce mode de vie, malmené, il disparaît.
C’est le moment que choisit Alain, son frère aîné, pour rompre avec ses pairs.
Avec l’aide de Camille, une jeune scientifique, il va tenter de détruire cette bestialité qui est en lui. Tout en luttant contre une organisation de jeunes Prédateurs qui souhaite mettre le monde à feu et à sang.
Comme dans ‘Les Dieux sans visage’, Jean Bury met en avant des thèmes qui lui tiennent à coeur : la puissance de l’affection, l’entraide et le soutien, même dans des univers noirs comme celui-ci.
Il réussit le pari de mettre en avant l’humanité dans l’inhumanité.
Titre : Aniki
Auteur : Jean Bury
Editeur : RROYZZ Editions
Prix version papier : 18,00 € : http://www.rroyzzeditions.com/index.php?id_product=51&controller=product&id_lang=2
Prix version numérique : 4,49 € : https://www.cultura.com/aniki-tea-9782363722539.html
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Présentation de l'éditeur :
Guitariste de talent, Kim part en tournée, parmi cinq gaillards, à bord d’un autobus aménagé. Si, d’un côté, elle arrive à se trouver une place et rencontrer l’amour, de l’autre, un homme inquiétant rôde autour d’elle et perturbe cette aventure, qui s’annonçait pourtant sensationnelle.
Titre : Kim
Autrice : Véro-Lyse Marcq
Editeur : Sharon Kena
Nombre de pages : 288 pages
Prix format papier : 16,00 € : https://www.leseditionssharonkena.com/precommander/2275-2122-kim-de-vero-lyse-marcq.html#/64-format-livre
Prix version numérique : 6,99 € : https://www.leseditionssharonkena.com/precommander/2275-2120-kim-de-vero-lyse-marcq.html#/65-format-e_book
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Présentation de l'éditeur :
Gürwin est un Morpho ; un individu génétiquement modifié pour vivre dans l’espace. Pourchassé, il tombe en panne sèche dans la Bordure. En échange de son précieux carburant, le pilote accepte de pirater un antique cargo spatial ; le gobe-lumens Masse Vectorielle, et de convoyer son butin sur la planète Kartagen. Ce serait un bon plan si l’équipe du commanditaire de Gürwin ne se composait pas d’une inhumaine revêche et d’un cyborg vindicatif, tandis que le pilote est persona non grata sur Kartagen. Le trio ne prévoyait pas non plus que des méta-corporations en voudrait à leur chargement. Bref, Gürwin ne se doute pas un seul instant qu’en acceptant ce contrat ses ennuis ne feront qu’empirer.
Titre : Masse vectorielle
Auteur : Paul Fichtre
Editeur : Pulp Factory
Genre : Science-fiction
Prix format papier : 12,50 € : http://pulp-factory.ovh/catalog/masse-vectorielle-de-paul-fichtre/
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Présentation de l'éditeur :
Crois en moi ! Les mots l’atteignaient jusque dans ses rêves. Que signifiaient-ils pour s’imposer à elle tels des leitmotivs qui n’en finissaient plus de dérouler leur trame inepte. Tel un mot-clef l’incitant à se reprendre en main. Le rappel d’un évènement dont elle savait qu’il existait, mais dont elle n’avait plus aucune réminiscence. Elle avait peint une scène s’y rapportant, sur une esquisse toilée mise de côté, une nuit qu’elle ne parvenait pas à dormir alors que l’expression ultime et désespérée lui hurlait de se souvenir. Parfois, même l’époque dans laquelle elle vivait se mêlait à d’autres censées n’avoir jamais été. Mais chaque fois, l’antique castel sur les berges de la Water of Leith y apparaissait. Pour une raison obscure, la vieille demeure sur son socle rocheux la fascinait. Elle n’osait plus franchir les grilles rouillées de son parc en dormance ni l’approcher plus près que le second coude de la rivière après les chutes. Ce n’était pas tant son abandon ou l’état de dégradation de ses hauts murs et dépendances qui l’intriguaient, qu’une espèce d’aura qui repoussait naturellement ceux qui s’efforçaient de l’aborder et d’enfreindre la menace implicite des ombres et de la brume qui la cernaient. Son futur était là, elle le savait. Un jour ou l’autre, il la rattraperait. Une légende courait à ce sujet, une légende qui parlait d’un vampire et de sa proie.
Christine Barsi :
L’auteure est une scientifique et une artiste qui a fait des études en biologie et science de la nature et de la vie, cherchant à comprendre ce qui anime le genre humain. L’auteure travaille dans les ressources humaines, l’informatique et l’ingénierie, écrivant en parallèle depuis 1998 des romans de science-fiction et de fantastique, avec à son actif sept romans publiés à compte d’éditeur.
Titre : Déviance - Tome 3
Autrice : Christine Barsi
Site de l'autrice : http://christinebarsi.com
Page Facebook de l'autrice : https://www.facebook.com/ChristineBarsi.romanciere
Présentation YouTube de l'autrice : https://youtu.be/A-u5P6w6z-U
Editeur : 5 Sens Editions
Nombre de pages : 490 pages
Prix du livre papier : 21,27 € : https://catalogue.5senseditions.ch/fr/science-fictionfantasy/297-deviance-tome-3.html
Interview de Christine Barsi
Présentez-nous votre ouvrage...
Le tome 3 de Déviance est une romance vampirique qui se déroule en 1830 sur Édimbourg, en Écosse.
Une romancière se confronte à sa vie présente qui s’entremêle à une précédente du fait d’un sortilège cherchant à combattre le sort mortel d’un sorcier noir et à sauvegarder son existence. La jeune femme devra affronter également le vampire dont elle est toujours la proie.
« … Son futur était là, elle le savait. Un jour ou l’autre, il la rattraperait. Une légende courrait à ce sujet, une légende qui parlait d’un vampire et de sa proie. »
Votre 7e roman vient d’être publié par 5 Sens Éditions tandis que votre tout 1er livre se publiait il y a moins de trois ans ; comment faites-vous pour assurer un tel rythme ?
J’ai commencé à vraiment écrire en 1998 avec l’intention de ne plus jamais arrêter. Le soir après le travail, le week-end, les vacances, je profitais, et je profite encore, de tous les instants qui me sont offerts pour m’adonner à cette passion. Mon mari me demandait invariablement pourquoi je ne soumettais pas mes romans les uns après les autres plutôt que de les cumuler, et je lui répondais invariablement que lorsque je serais connue, je n’aurais plus autant de liberté et je me refusais à expérimenter ces moments de pression lorsqu’une maison d’édition jette son dévolu sur l’artiste. J’aspirais à apprécier, goûter chaque instant de ces bribes de créations de mes mondes et de mes personnages sans quiconque ou système pour m’inciter à écrire plus rapidement. Je lui affirmais encore que lorsque je serais prête, je m’attèlerais à l’étape de la soumission de mes manuscrits aux éditeurs.
En près de 18 années, j’ai donc engrangé une petite vingtaine de manuscrits plutôt bien avancés allant de plus de cent pages à plus de 500 pages ; lorsque j’ai estimé le moment voulu, je me suis lancée. Et c’est 5 Sens Éditions qui m’a proposé le premier contrat en 2017 pour le tome 1 de Déviance. L’un de ces moments magiques que tout artiste peut expérimenter dans son existence mouvementée.
Pour renouer avec le fil de mon discours et répondre plus pleinement à la question, après ce premier contrat, je n’ai plus eu qu’à reprendre un à un mes premiers manuscrits les plus achevés, les amener à leur aboutissement et les soumettre aux éditeurs.
Pourquoi ce choix de 5 Sens Éditions ?
J’ai soumis mes tout premiers manuscrits à plusieurs maisons d’édition qui acceptaient l’envoi par mail ou via leur site Web. J’ignore les éditeurs qui n’admettent les manuscrits que par courrier. Dans notre monde moderne, c’est inimaginable, et quel gâchis !
J’apprécie de collaborer avec une maison d’édition indépendante qui me laisse toute l’autonomie nécessaire pour le travail de recorrections ainsi que le choix de la couverture dont je sélectionne une illustration sur une banque d’images comportant des milliers de photos. J’ai le sentiment de davantage contribuer au grand œuvre de cette manière plutôt que de m’intégrer aux innombrables projets d’un éditeur ayant pignon sur rue. Mais la contrepartie, c’est que le niveau de promotion n’égalant pas celui de ces grandes maisons je me dois plus régulièrement de participer à ces actions. À la fois un handicap et un privilège qui me font me plonger dans les arcanes de ce secteur de la littérature et en appréhender en accéléré les rouages. J’ai appris beaucoup plus vite de cette manière, j’ai conçu mon site Web et trouvé un hébergeur, me suis immergée dans les réseaux sociaux alors qu’une année auparavant je n’y connaissais rien. Et je dois dire que je suis surprise par la richesse des échanges que l’on retrouve sur ces places fortes du grand Internet, si l’on s’en donne la peine !
Pourriez-vous nous citer quelques passages du tome 2 de Déviance ?
1er Extrait, Prologue :
« Mon esprit vagabondait ainsi qu’un adolescent en mal d’aventures. Je le laissais courir devant, puis le rattrapais en le raisonnant. »
2d Extrait, Prologue :
« Crois en moi ! Les mots l’atteignaient encore, jusque dans ses rêves. Que signifiaient-ils pour s’imposer à elle chaque nuit, puis à chacun de ses réveils. C’était comme des leitmotivs qui n’en finissaient plus de dérouler leur trame inepte. C’était comme un mot clef qui devait l’inciter à se réveiller et se reprendre en main, mais dont l’opérationnalité n’avait plus de fonctionnel que le concept. Le rappel d’un évènement dont elle savait qu’il existait, mais dont elle n’avait plus aucune réminiscence. Fallait-il donc s’y appesantir, encore et encore, ou bien abandonner cette quête effrénée d’un sens qui lui échappait, lui échapperait toujours ? Elle avait peint une scène s’y rapportant, sur une esquisse toilée mise de côté, une nuit qu’elle ne parvenait pas à dormir alors que l’expression ultime et désespérée lui hurlait de se souvenir. »
3e Extrait, Prologue :
Pour une raison obscure, la belle demeure sur son socle rocheux la fascinait depuis toujours. Mais alors que son esprit audacieux l’entraînait régulièrement aux découvertes, la jeune femme n’avait jamais tenté jusque-là – du moins pas depuis qu’elle avait atteint le seuil de l’âge adulte – de franchir les grilles rouillées de la propriété en dormance ni l’approcher plus près que le second coude de la rivière après les chutes, au-delà desquelles se trouvaient les fondations de la mystérieuse demeure. Ce n’était pas tant son abandon ou l’état de dégradation de ses hauts murs et dépendances qui l’intriguaient, qu’une espèce d’aura qui repoussait naturellement ceux qui s’efforçaient de l’aborder et d’enfreindre la menace implicite des ombres et de la brume qui la cernaient.
4e Extrait, Chapitre La crypte :
Extrait du tome III de Déviance :
Les Aulnes Jumeaux, par l’égrégore des Mackrey : «La mort n’a sur moi aucune emprise réelle, hormis le poids des années qui pèsent sur ma conscience ainsi qu’un leitmotiv qui jamais ne s’achève. Mais plus que tout, me pèse cette détention qui me tient éloigné de la lumière, de toutes les lumières qui sont synonymes de la moindre parcelle de vie en dehors de la mienne. »
Il dormait, profondément enveloppé d’une obscurité immanente, immergé dans le bain insondable de ses pensées qui cognaient à l’arrière de son crâne sans lui concéder la paix à laquelle il aspirait. Les ombres et les pierres de l’antique demeure se refermaient sur lui comme un embaumement naturel auquel il ne parvenait pas à s’arracher.
Jamais.
Même alors qu’il sentait peser au-dessus de lui, comme en cet instant, le poids urgent de pensées vaguement familières bien que divergentes des siennes. Les ombres toujours, et cette volonté inconsciente de rester accrocher au tombeau qui l’isolait et dont les parois le cernaient chaque jour davantage. Il aurait souhaité qu’elles se dissolvent, au contraire.
Comme ce matin.
Comment s’est déroulée pour vous cette année 2019 qui s’achève ?
Ce fut une année riche en découvertes. J’ai participé à deux salons du livre, celui de Mennecy début février 2019 et le Salon Fantastique de l’espace Champerret fin octobre 2019. De même, j’ai réalisé plusieurs séances de dédicaces au centre commercial Auchan de Fontenay-sous-Bois.
Je me suis fait connaître de la mairie de ma ville, Nogent-sur-Marne, et la Direction culturelle de celle-ci organisera du fait de mes interactions une rencontre avec les écrivains de la ville en mars 2020. C’est un vrai résultat et un beau challenge à venir. Plusieurs de mes romans sont présents sur les étagères de la bibliothèque de ma ville et celles de la librairie Agora du cœur de Nogent.
J’anime mon site Web et je suis créative sur les réseaux sociaux du mieux que je peux.
Enfin, j’aurais publié cette année trois livres, SolAs un roman de science-fiction et deux tomes de ma romance vampirique Déviance dont ce tout dernier.
Quels sont vos projets pour l’année 2020 ?
Je serai présente sur le salon du livre et de la BD de Mennecy, les 1er et 2 février, ainsi que sur le Salon Fantastique du parc floral de Vincennes les 29 et 30 août 2020. Je participerai également à cette fameuse rencontre des écrivains nogentais ouverts à leurs publics, le 7 mars prochain.
Je travaille avec une effervescence contenue sur la réécriture d’une trilogie de science-fiction qui mettra en exergue les mutations génétiques d’un univers en perdition. J’aimerais beaucoup que le premier tome soit publié fin 2020, mais nous verrons si j’ai été suffisamment prolifique. Écrire demande beaucoup de concentration en parallèle des nombreuses activités que génère le quotidien.
J’ambitionne de traduire en anglais mon premier tome de Déviance, aussi j’expérimente le sujet à mes moments « perdus ». Un autre souhait, enfin, c’est que cette romance vampirique soit un jour portée au grand écran. Je me penche depuis quelque temps sur la faisabilité d’un tel projet et pour ce faire, je prends connaissance des différentes méthodes pour écrire un script.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
La persévérance est le maître mot de l’existence dans la poursuite de ses rêves de quelque ordre qu’il soit.
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Quatrième de couverture :
Tandis qu'il s'activait, pelotait ses seins, ahanait comme une bête, elle imaginait sa mort, le goût de son sang, le bruit de son squelette se brisant sous ses dents. Il prit son temps, savourant la chair chaude. Parfois, il lui parlait de Dieu, de sa mission, et à chacune de ses élucubrations, elle sentait un regain dans son excitation.
LA FAIM DU MONDE
Une cité encerclée par la maladie. Des créatures de cauchemar qui rôdent dans la campagne. Des personnages aux abois, luttant pour leur survie. Mais dans un monde où le foie compte plus que la foi, la vie a-t-elle encore un sens ?
GRETA
Une prison dans le désert. Un lieu hors du monde et inhumain. Greta a accepté d’y travailler. Pour son malheur. Car après avoir craqué, elle passe du côté des détenus. Et son calvaire ne fait que commencer.
Après Thanatéros, publié en mars 2018 dans la même collection, Catherine Robert livre deux nouveaux romans d’horreur saisissants. Le premier, La faim du monde, est un inédit qui devrait combler les amateurs de la série Apocalypse, jadis publiée chez Média 1000. Quant au second, il s’agit de la réédition revue et augmentée de Greta, initialement publié en 2015 chez TRASH Éditions. Entre Post-Apo déviant et dystopie carcérale, l’avenir selon Catherine Robert s’annonce sombre et sauvage. Vous voilà prévenus.
Titre : Extinctions
Autrice : Catherine Robert
Editeur : Rivière Blanche
Illustratrice de couverture : Daniele Serra
Nombre de pages : 252 pages
Prix format papier : 20 € >> https://www.riviereblanche.com/nouveautes-n128-extinctions.html
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